Extrait de l’interview d’Yves JAMAIT réalisée par les enfants de l’école d’Arceau

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Comment fais tu si tu te trompes dans tes chansons ?

« Alors, normalement c’est un grand moment de solitude comme on dit. (rire général) Mais quand je monte sur scène, je n’ai pas peur de ça. Mais si je me plante, je vais tourner ça à la rigolade. Les gens se marrent aussi, on refera la chanson, je vais faire un sketch derrière pour essayer de m’en sortir. Alors pour te donner un exemple, ça m’est arrivé à l’Olympia, pas parce que je m’étais trompé mais je me suis retrouvé dans un grand moment de solitude. (…)La première fois où j’ai fait l’Olympia, il y a eu un problème de son. D’un seul coup, on a du son sur scène mais le public n’en avait pas. Donc, ça a commencé à crier. Je me suis demandé ce qui arrivait, j’étais un peu dans la chanson à ce moment. (…) Et j’ai trouvé une blague, on est reparti, et paf ! Ça retombe un deuxième coup. On a retrouvé une blague… Et après pendant la quatrième chanson, je me suis dit : « pourvu que ça ne s’arrête pas, pourvu que ça ne recommence pas », je ne savais plus ce que j’allais dire (rire). Mais bon en général, je ne plante pas beaucoup mes chansons, mais ça arrive de temps en temps, et quand ça arrive je ne le vis pas comme un drame. »

Est-ce que vous avez beaucoup de fan ?

« Fan, je n’aime pas tellement le mot. Ce mot vient de fanatique. On le dit assez facilement maintenant. Mais les gens qui aiment bien ma musique, il y en a beaucoup (…). Je ne sais pas exactement mais à chaque fois que j’ai sorti un disque, il a été disque d’or donc il y en a au moins 50 000 (…). A mon âge, on ne fait pas trop ça pour avoir des fans, je fais ce métier parce que je l’aime. C’est un vrai métier avec un travail en amont, des recherches de chanson, des projets qu’on fait (…). »

Comment connaissez-vous Brahim ?

« Brahim, on se connait parce qu’il connaissait un de mes premiers musiciens, François Pellier. C’était le premier pianiste que j’avais et qui à l’époque m’a fait rencontrer Brahim(…). Ils ont joué pas mal ensemble après que François n’a plus été avec moi et donc il me l’a présenté à ce moment là. »

Comment avez-vous connu la chanteuse ZAZ ?

« Ah, alors avec ZAZ, un jour on m’a dit, avant qu’elle soit connue, « Tiens, on a un disque avec cinq titres dessus d’une jeune chanteuse, est-ce que tu accepterais qu’elle fasse tes premières parties ? ». Donc j’ai écouté le “cinq titres”, j’ai tout de suite aimé. J’ai même une version de « Je veux » qui n’est pas du tout la même que celle qui passe (à la radio). J’ai beaucoup aimé et j’ai tout de suite appelé mon tourneur pour lui dire… Mon tourneur, c’est un monsieur qui me faire des spectacles (explique-t-il aux enfants). Pour lui dire « J’aime bien, vas y si tu veux, mets les dates en première partie ». Elle est venue me voir au Casino de Paris, elle n’était pas connue du tout, je lui ai dit « écoute j’adore ce que tu fais, on fera des dates ». Et donc on cale trois dates. Et entre temps la ZAZ, six mois après, elle avait vendu 300 000 albums et tout le monde la connaissait. Je me suis dit, bon, elle n’a plus besoin de moi, mais elle m’a dit « si, si, je maintiens les premières »(…). Ensuite, elle m’a demandé de faire un duo avec elle. J’ai fait cette chanson et je l’ai appelée « Bas tiens, je rentre en studio la semaine prochaine, je viens juste de faire une chanson. Est-ce que tu accepterais de la chanter ? » Je la lui ai envoyée, elle m’a dit d’accord et on a fait ce duo ensemble. »

Est-ce que tu fais de la magie ?

« De la magie, j’en ai fait un peu comme ça, en rigolant. J’en ai fait un petit peu aussi sur scène. Je prenais une cigarette et au moment où je l’allumais, elle devenait un coquelicot. »
Les enfants : « Ouah, comment tu fais ? »
« Enfin je ne peux pas le faire là, je n’ai pas de coquelicot. Et j’avais projeté aussi de faire une chose. Je me servais un verre en le tenant dans la main et quand je retirais ma main, le verre restait en l’air pendant que je continuais de vider la bouteille. Et puis, ce n’était pas hyper au point, alors je ne l’ai pas incéré dans mon spectacle. Mais je le ferai peut-être un de ces jours. » (dérision)
Les enfants : « Oh, oui ! »
« Mais je ne suis pas David Copperfield non plus, hein… » (rire général)

Réalisations durant l’année 2011

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Hommage rendu à Madeleine THOMAS par Bruno BETHENOD

Décédée à Dijon le mardi 10 janvier 2012

« Elle fut Maire de la commune de 1983 à 1991.
De son mandat, on retiendra :

  • la création d’une réserve foncière pour le développement de zones d’activités économiques (Bois de l’Ordorat, Gourmerault, Savelles) ;
  • la réalisation de la salle à usages multiples d’Arceau ;
  • l’aménagement du bord de la Tille à Arceau et Arcelot ;
  • l’aménagement et la mise à disposition du bassin communal aux habitants ;
  • la plantation d’arbres le long de la route départementale entre Arceau, Arcelot et Fouchanges ;
  • la commune lui doit aussi la rénovation de l’ancien presbytère ;
  • la mise en valeur des richesses de l’église, notamment les tombes médiévales et la rénovation de la petite chapelle ;
  • elle offrit à la commune l’un des 2 lustres de notre église.

Femme de caractère, elle exerça son mandat avec conviction en étant à l’écoute de ses administrés. »

Consultez l’article publié dans le Bien Public en cliquant ici.

Jeux du XVIIIe siècle

Jeu du tirez-lâchez

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On fait un cercle autour d’une personne ayant de longs rubans dans le poing (1 ruban par personne dans le cercle). Chaque participant de la ronde doit prendre le bout d’un long ruban. La personne au centre doit babiller (quelque chose d’amusant pour détourner l’attention des joueurs !) et doit régulièrement dire “Tirez, lâchez !”. Quand il dit “tirez” alors les joueurs doivent donner du mou et s’il dit “lâchez” alors on doit tirer.

Si certains se trompent, la personne au centre du cercle leur donne un gage (par exemple : “ramenez-moi un mouchoir !” ou “allez “déclamer une tirade à la dame que vous trouvez la plus jolie !”).

Et chacun reprend son ruban et le jeu continue.
(on se trompe souvent à ce jeu, ce qui fait faire beaucoup d’aller-retour et de péripéties)

Jeu du furet

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Plusieurs joueurs forment un cercle tenant dans leur dos un ruban sur lequel ils font passer un anneau, « le furet ». Un joueur (le chasseur) est placé au milieu du cercle et doit dire dans quelle main se trouve l’anneau lorsque la comptine (« il court, il court, le furet… ») s’arrête. S’il a trouvé, il donne un gage à la personne qui l’a si mal caché. S’il ne l’a pas trouvé alors la personne qu’il a désignée lui donne un gage. La personne désignée devient le chasseur.

Jeu des grâces

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Chaque joueur prend deux propulseurs et envoie le cerceau à un autre joueurs. Chacun doit être le plus gracieux possible : on ne compte pas les points mais les passes (et réceptions) gracieuses !

Colin Maillard

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Le chasseur a les yeux bandés et les chassés tournent autour de lui (sans trop s’éloigner) en évitant de se faire toucher. Si le chasseur réussit à toucher un autre joueur, celui-ci s’immobilise et laisse le chasseur lui toucher le visage. Si le chasseur réussit à reconnaître la personne au toucher, alors celle-ci prend la place du chasseur.

Jeu de l’anguille

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On noue un mouchoir très serré : c’est l’anguille. Ensuite tout le monde se met en place pour former un cercle (sauf un joueur qui va porter l’anguille), puis les joueurs se lâchent la main et s’assoient par terre. Ils doivent dès lors regarder droit devant eux.

Celui qui porte l’anguille tourne autour du cercle avec l’anguille en main, tout en babillant (il faut avoir de l’esprit pour tenir un discours amusant). Il va laisser tomber l’anguille derrière quelqu’un et va alors clôturer son monologue en prononçant le mot “anguille” : à ce moment tout le monde regarde s’il a l’anguille derrière lui.

Celui qui l’a, la saisit et doit aller “taper” (gentiment) l’un de ses camarades (ces derniers se mettant en fuite dès qu’ils remarquent qu’ils n’ont pas l’anguille).

Jeu du volant ou badminton

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Aussi étonnant que cela puisse paraître, les jeux utilisant un volant comme balle existe depuis de nombreux siècles. Mais les prémisses du badminton et ses premières règles apparurent au cours du XVIIIème siècle, avec notamment l’apparition d’un filet entre les joueurs. Ce n’est qu’un siècle plus tard, que le badminton devint officiellement un sport avec des règles établies.

C’est un sport de raquette qui oppose des joueurs placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs marquent des points en frappant un volant à l’aide d’une raquette pour le faire tomber dans le demi-terrain adverse. L’échange se termine dès que le volant touche le sol. A noter que le badminton est devenu un sport olympique en 1992.

La révérence

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Les garçons et les filles se font face pour se saluer à la manière du XVIIIe siècle.

Un grand merci à Fanny Wilk, animatrice durant la journée des écoles, pour tous ses nombreux renseignements.

Galerie photo

Grand reportage photo : Les Journées de la Marquise d’Arcelot des 1 et 2 octobre 2011

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Que vous ayez un intérêt particulier ou non pour le XVIIIe siècle, les Journées de la Marquise ne vous laisseront pas de marbre. Musiques, danses, spectacle équestre, vols de rapaces, mais aussi gourmandises et emplettes avec l’atelier chocolat et le marché, il y en avait pour tous les goûts ! Pour les passionnés d’architecture et d’histoire, il était également possible de faire une visite guidée du château.

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Dès l’arrivée au château, nous fument plongés dans l’univers du XVIIIe siècle. Les trompettes de chasse sonnaient le rappel, la fanfare défilait au rythme des tambours et des fifres, et où que l’on posait son regard apparaissaient des personnes aux allures d’un autre siècle. Il faut dire aussi que tout le staff de l’évènement était en costume, en passant du service d’accueil jusqu’à celui de sécurité.

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Les gens sont venus nombreux en ce magnifique week-end ensoleillé de début d’automne. Pas moins de 1500 visiteurs eurent l’occasion de découvrir la vie de la noblesse au XVIIIe siècle grâce à la participation de plus de 130 personnes costumés venus de toute la France mais aussi d’Allemagne, d’Italie et de Suisse.

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Au fait, pourquoi ces festivités s’appelle-t-elles les Journées de la Marquise d’Arcelot? Antoine de Loisy, notre hôte, nous explique que ce nom fut choisi en raison du rôle prépondérant que les marquises d’Arcelot ont joué au fil du temps dans l’histoire du château. Tout d’abord, l’épouse de Philibert Verchère a persuadé son mari de choisir le style néoclassique pour la construction du château qui fut par conséquent le premier de Bourgogne dans ce style architectural au grand succès. Ensuite sa petite fille, Louise Adélaïde, alors à peine âgé de 11 ans, a sauvé le château pendant la révolution (voir l’article sur le château en cliquant-ici). Et enfin, Thérèse, épouse d’Antoine de Loisy, est la principale initiatrice de ces journées.

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Après ce grand succès Thérèse et Antoine de Loisy ont déjà pleins de nouvelles idées pour l’année prochaine et se feront un plaisir de vous y retrouver !

Thématiques sur les Journées de la Marquise d’Arcelot

Cliquez sur le titre ou la photo de l’animation qui vous intéresse :

Modifications du ramassage des ordures ménagères

Dernières infos sur le flash info de décembre 2012

voir le flash

Ramassage des déchets recyclables

La distribution des bacs jaunes interviendra en décembre 2012 et janvier 2013.

Les bacs seront déposés devant les habitations, aucune intervention des usagers ne sera nécessaire. Il vous est toutefois demandé de rentrer votre bac rapidement, afin qu’il ne soit ni volé ni dégradé.

Tout foyer n’ayant pas reçu son bac, alors que ses voisins sont équipés, devra donner ces renseignements au Syndicat Mixte (Contacts en bas de page) :

  • Nom, Prénom
  • Adresse
  • Nombre de personnes composant le foyer (afin de déterminer la capacité du bac)

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Les informations concernant le ramassage des emballages et papiers à recycler vous seront fournies à la livraison de votre bac jaune. Cette livraison aura lieu en fin d’année 2012 à votre domicile, gratuitement et sans intervention de votre part.

Ramassage des déchets non recyclables

Afin d’améliorer la qualité du service concernant la collecte sélective, les délégués du Syndicat Mixte ont voté le ramassage au porte-à-porte des emballages en plastique, métal et carton, ainsi que des papiers.

En raison de cette prochaine mise en place, les tournées de ramassage des ordures ménagères seront modifiées à compter du lundi 19 novembre 2012. A Arceau, le ramassage des déchets non recyclable ne se fera plus le mardi mais tous les mercredis.

Se tenir informé

Ces informations ont été données par le Syndicat Mixte de collecte et de traitement des déchets ménagers et assimilés des cantons de Mirebeau-sur-Bèze et Pontailler-sur-Saône. Vous pouvez consulter son site internet à cette adresse de notre site reste valable jusqu’à l’arrivée des bacs jaunes. Elle sera mise à jour dès que nous recevrons de nouvelles informations.

Contacts

  • Syndicat Mixte de collecte et de traitement des déchets ménagers et assimilés des cantons de Mirebeau-sur-Bèze et Pontailler-sur-Saône
  • 11 rue de la Gare
  • 21270 PONTAILLER-SUR-SAÔNE
  • Tél. : 03 80 10 05 57
  • Fax : 03 80 10 05 58
  • E mail : contact@syndicat-mixte.fr
  • Site internet : [www.syndicat-mixte.fr->www.syndicat-mixte.fr]



Cérémonie du 11 novembre 2015

La cérémonie a débuté par le mot de notre adjointe au Maire Martine Deschamps.
Puis, les enfants de l’école ont déposé une gerbe de fleurs au pied du monument aux Morts. Madame Deschamps lut ensuite la lettre du secrétaire d’Etat chargé des anciens combattants et de la mémoire.

A cette occasion, les enfants ont lu un texte sur les portes bonheur des soldats :

“En cette année 1918, on fredonne La vraie histoire de Nénette et Rintintin,
qui conte l’histoire d’un couple d’amoureux parisiens qui échappa aux bombes
d’un gotha…

Réalisées à peu de frais, ces deux poupées de laine à l’aspect enfantin,
réunies par un cordon aux allures de chapelet, devinrent un porte-bonheur à
offrir au bien-aimé, au civil comme au soldat, dans le but de le protéger
contre les bombes. Comme pour mieux défier “chagrin, cafard, gotha, gothon”,
les fétiches “chassent de votre chemin le danger qui rôde alentours!”.

On les retrouve dans les revues illustrées de l’époque ( Fantasio, La
Baïonnette) et sur quelques séries de cartes postales. Les dessinateurs les
déclinent en Alsaciens ou même en couples italiano ou américano-français,
parce que les porte-bonheur doivent profiter aussi aux alliés.”

Les enfants ont ensuite offert des nénettes fabriquées par leur soin à l’assemblée présente.



Exposition de peintures et sculptures des 21 et 22 novembre 2015

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Tous les participants sont remerciés pour leur implication dans cette manifestation que l’on veut être une « vitrine pour la commune ».

Les employés municipaux, les conseillers, les habitants (Huguette, Annie, Paula, Mireille, Thérèse, Martine , Monique Jacquelain la plus ancienne et fidèle , Jean-Bruno, Jacqueline)

Outre le caractère local qui permet de mettre en avant quelques artistes d’Arceau , Maryse Fracassetti ,Jean-Bruno Terrel, Mireille Winkelmann, Nellie Vivet, les meilleurs peintres professionnels de la région nous font l’honneur et le plaisir de faire de la commune un lieu de rencontres culturelles convivial, je dirais joyeux, et de haute qualité picturale…et de sculpture , sans exagération, en toute vérité , témoignage à l’appui , à hauteur de l’ESSOR si ce n’est que Arceau n’est pas Dijon même si la salle se met dans tous ses Etats: merci à Gérard Ponsot.

Les artistes nous apportent la culture au même titre qu’en ville .

Soyons nombreux à se rallier à cette fraternité républicaine évoquée par Rémi Delattre, et Bruno Bethenod citant Chagall, à colorier nos vies avec nos couleurs d’amour et d’espoir.

Nellie Vivet,
Présidente des Charmes d’Arceau

Reportage vidéo de l’exposition réalisé par Roland Garnier


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Exposition de peintures et sculptures des 22 et 23 novembre 2014

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La dixième édition de l’exposition « peintures et sculptures à Arceau » s’est déroulé ce WE des 22 et 23 novembre. Le vernissage a réuni une fois de plus nombre d’amateurs d’art autour des œuvres de 24 artistes peintres, deux sculpteurs et un mosaïste, en présence de M. Rémi Delatte député, M. Laurent Thomas conseiller général du canton de Mirebeau sur Bèze, M. Didier Lenoir Président de la communauté de Communes du Mirebellois.

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L’invitée d’honneur, Micheline Reboulleau nous a présenté nombre de ses œuvres aux couleurs de la mer, du ciel de la côte d’Opale, de ses embruns, mais également de la Haute Provence au ciel chargé du contraste entre mer et montagne.

Son art préféré, l’aquarelle exprime les multiples facettes de ses sujets, lumière sensibilité, impression vive et animée…Grâce à la rapidité du geste elle s’empare de l’émotion et la fixe sur la toile. Avec justesse et amplitude Micheline nous transmet son ressenti.

Parmi toutes les œuvres présentes, une grande diversité a séduit le public avec des talents connus et reconnus, la mosaïque art d’un certain renouveau, revu de façon moderne, art abstrait qui prend ses titres de noblesse, calligraphie tibétaine et chinoise….

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Nous avons été filmés par le Fontainois Jean-Pierre Deschamps ami de Micheline.
Cette exposition permet d’envisager la 11ème édition en 2015 avec confiance.

L’Association remercie chaque participant à cet évènement qui met de la vie dans un village qui refuse d’être dortoir aux portes de Dijon.


Reportage vidéo de l’exposition par Jean-Pierre Deschamps


Exposition peintures sculptures à ARCEAU 21 par vision2000production


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