Exposition de peintures et sculptures des 22 et 23 novembre 2014

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La dixième édition de l’exposition « peintures et sculptures à Arceau » s’est déroulé ce WE des 22 et 23 novembre. Le vernissage a réuni une fois de plus nombre d’amateurs d’art autour des œuvres de 24 artistes peintres, deux sculpteurs et un mosaïste, en présence de M. Rémi Delatte député, M. Laurent Thomas conseiller général du canton de Mirebeau sur Bèze, M. Didier Lenoir Président de la communauté de Communes du Mirebellois.

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L’invitée d’honneur, Micheline Reboulleau nous a présenté nombre de ses œuvres aux couleurs de la mer, du ciel de la côte d’Opale, de ses embruns, mais également de la Haute Provence au ciel chargé du contraste entre mer et montagne.

Son art préféré, l’aquarelle exprime les multiples facettes de ses sujets, lumière sensibilité, impression vive et animée…Grâce à la rapidité du geste elle s’empare de l’émotion et la fixe sur la toile. Avec justesse et amplitude Micheline nous transmet son ressenti.

Parmi toutes les œuvres présentes, une grande diversité a séduit le public avec des talents connus et reconnus, la mosaïque art d’un certain renouveau, revu de façon moderne, art abstrait qui prend ses titres de noblesse, calligraphie tibétaine et chinoise….

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Nous avons été filmés par le Fontainois Jean-Pierre Deschamps ami de Micheline.
Cette exposition permet d’envisager la 11ème édition en 2015 avec confiance.

L’Association remercie chaque participant à cet évènement qui met de la vie dans un village qui refuse d’être dortoir aux portes de Dijon.


Reportage vidéo de l’exposition par Jean-Pierre Deschamps


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Inauguration des aménagements de la commune du 13 septembre 2014

A l’occasion du passage du festival Musiques en Voûtes à Arceau, monsieur le Maire a organisé l’inauguration de plusieurs aménagements réalisés durant ces dernières années :

  • la réfection du pont de la Tille
  • l’aménagement de la traversée d’Arceau
  • les aménagements intérieur et extérieur de la maire
  • les aménagements des zones économiques
  • l’aménagement du local technique
  • l’aménagement du terrain multisports

Un document relatant les causes et contextes de ces travaux, les descriptifs des opérations, les montants des travaux et des subventions a été distribué durant l’inauguration. “Vous pouvez le consulter en cliquant ici”
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Jeu de piste au moulin d’Arceau du 19 juin 2014

Les animateurs du service périscolaire d’Arceau ont organisé une chasse au trésor au moulin d’Arcelot où chaque épreuve était identifiée par un pays, en rapport avec le thème de cette année, les voyages de Christophe Colomb. Les enfants furent répartis en 4 tribus indiennes qui devaient répondre à des énigmes ou réussir des jeux d’adresse pour obtenir des indices sur la localisation du trésor.

Le moulin d’Arceau fut un choix tout désigné puisqu’il fut construit par Pierre Arnoux qui a aussi fabriqué une réplique d’une des caravelles de Christophe Colomb, la Santa Maria (voir l’article sur Pierre Arnoux).

Toute l’équipe remercie Élisabeth et Émile Lorilliard pour leur avoir ouvert leur porte et permis de passer cet agréable moment très apprécié par les enfants.

Weekend d’échange du 16 avril 2011

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Samedi 16 avril 2011, nos correspondants italiens de San Bassano effectuaient un bref passage dans notre commune. Notre maire, Bruno Bethenod, accompagné de Madame Deschamps et de Messieurs Cherbetko et Commeau, responsables du comité de jumelage, ainsi que de nombreux habitants de la commune les ont accueillis dans la cour du château d’Arcelot par un bel après midi de printemps ; ensuite Monsieur Antoine de Loisy s’est fait un plaisir de leurs faire découvrir l’intérieur du château. Nos amis de San Bassano ont beaucoup apprécié cette visite de même que les arcelois et arceloises ne connaissant pas encore la magnifique collection d’objets d’art répartie dans les différentes pièces du château, permettant une immersion dans le monde du 18ème siècle.

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La visite guidée fut suivie d’un apéritif puis d’un échange de cadeaux. Nos correspondants italiens avaient apporté quelques spécialités régionales très appréciées. Monsieur Bethenod, maire d’Arceau, offrit, entre autres, trois tableaux de paysages d’Arceau et un maillot de coureur cycliste aux couleurs de la Bourgogne en réponse au maillot de coureur cycliste que Madame le maire de San Bassano, Cesira Bassanetti, lui avait offert lors du dernier échange.

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Le groupe italien était composé pour la moitié d’adolescents étudiant la musique et le français. Ils ont lu devant l’assemblée des textes qu’ils avaient eux-mêmes écrit, ces textes prônant l’échange et le respect entre les cultures. La lecture s’est faite d’abord en italien, leur langue natale, puis en français démontrant ainsi leur maîtrise de notre langue. Ils furent applaudis avec enthousiasme et les maires respectifs des deux communes appuyèrent leurs textes de quelques phrases, consolidant ainsi les liens qui nous unissent.

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Madame Cesira Bassanetti offrit à la commune d’Arceau une plaque commémorative afin de garder en mémoire cette journée.

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L’apéritif fut ensuite servi dans la cour du château, occasion de discussions dans les deux langues pour tous les participants, tout en bénéficiant d’un magnifique coucher de soleil.

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La soirée s’est ensuite poursuivie par un repas au restaurant Les Marronniers à Arc-sur-Tille que nous avons dégusté dans la chaleureuse compagnie de nos amis italiens. A la fin du repas, les adolescents nous ont chantés quelques airs italiens célèbres mettant ainsi un terme à cette visite.

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Repas portugais du 28 mars 2014

Une fois par trimestre, la cuisine centrale du Mirebellois concocte un déjeuner sur le thème des spécialités culinaires d’un pays aux écoliers du canton.

Cette fois-ci, le Portugal est mis à l’honneur. A cette occasion, les écoliers d’Arceau ont réalisé, au centre périscolaire, de petits moulages peints aux couleurs du Portugal et des éventails en papier pour décorer les tables. Certains ont aussi amené des objets tels que des livres illustrés, un éventail et des CD d’artistes portugais pour décorer la table centrale.

Menu du repas portugais:

  • Rillettes de sardine
  • Carbonnade de bœuf à l’orange
  • Pastéis de nata (flan pâtissier façon portugaise)

Les enfants ont beaucoup apprécié ce repas et n’ont quasiment rien laissé.


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La grande Lessive du 27 mars 2014

Créée en 2006 par la plasticienne Joëlle Gonthier, La Grande Lessive® est une manifestation culturelle internationale biannuelle qui consiste à réaliser des œuvres artistiques sur une feuille au format A4 à partir de matériaux communs en reprenant le principe d’étendage du linge comme moyen d’exposition.

Retrouvez plus d’infos sur cette manifestation sur le site de La Grande Lessive à cette adresse : http://www.lagrandelessive.net/


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Extrait de l’interview d’Yves JAMAIT réalisée par les enfants de l’école d’Arceau

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Comment fais tu si tu te trompes dans tes chansons ?

« Alors, normalement c’est un grand moment de solitude comme on dit. (rire général) Mais quand je monte sur scène, je n’ai pas peur de ça. Mais si je me plante, je vais tourner ça à la rigolade. Les gens se marrent aussi, on refera la chanson, je vais faire un sketch derrière pour essayer de m’en sortir. Alors pour te donner un exemple, ça m’est arrivé à l’Olympia, pas parce que je m’étais trompé mais je me suis retrouvé dans un grand moment de solitude. (…)La première fois où j’ai fait l’Olympia, il y a eu un problème de son. D’un seul coup, on a du son sur scène mais le public n’en avait pas. Donc, ça a commencé à crier. Je me suis demandé ce qui arrivait, j’étais un peu dans la chanson à ce moment. (…) Et j’ai trouvé une blague, on est reparti, et paf ! Ça retombe un deuxième coup. On a retrouvé une blague… Et après pendant la quatrième chanson, je me suis dit : « pourvu que ça ne s’arrête pas, pourvu que ça ne recommence pas », je ne savais plus ce que j’allais dire (rire). Mais bon en général, je ne plante pas beaucoup mes chansons, mais ça arrive de temps en temps, et quand ça arrive je ne le vis pas comme un drame. »

Est-ce que vous avez beaucoup de fan ?

« Fan, je n’aime pas tellement le mot. Ce mot vient de fanatique. On le dit assez facilement maintenant. Mais les gens qui aiment bien ma musique, il y en a beaucoup (…). Je ne sais pas exactement mais à chaque fois que j’ai sorti un disque, il a été disque d’or donc il y en a au moins 50 000 (…). A mon âge, on ne fait pas trop ça pour avoir des fans, je fais ce métier parce que je l’aime. C’est un vrai métier avec un travail en amont, des recherches de chanson, des projets qu’on fait (…). »

Comment connaissez-vous Brahim ?

« Brahim, on se connait parce qu’il connaissait un de mes premiers musiciens, François Pellier. C’était le premier pianiste que j’avais et qui à l’époque m’a fait rencontrer Brahim(…). Ils ont joué pas mal ensemble après que François n’a plus été avec moi et donc il me l’a présenté à ce moment là. »

Comment avez-vous connu la chanteuse ZAZ ?

« Ah, alors avec ZAZ, un jour on m’a dit, avant qu’elle soit connue, « Tiens, on a un disque avec cinq titres dessus d’une jeune chanteuse, est-ce que tu accepterais qu’elle fasse tes premières parties ? ». Donc j’ai écouté le “cinq titres”, j’ai tout de suite aimé. J’ai même une version de « Je veux » qui n’est pas du tout la même que celle qui passe (à la radio). J’ai beaucoup aimé et j’ai tout de suite appelé mon tourneur pour lui dire… Mon tourneur, c’est un monsieur qui me faire des spectacles (explique-t-il aux enfants). Pour lui dire « J’aime bien, vas y si tu veux, mets les dates en première partie ». Elle est venue me voir au Casino de Paris, elle n’était pas connue du tout, je lui ai dit « écoute j’adore ce que tu fais, on fera des dates ». Et donc on cale trois dates. Et entre temps la ZAZ, six mois après, elle avait vendu 300 000 albums et tout le monde la connaissait. Je me suis dit, bon, elle n’a plus besoin de moi, mais elle m’a dit « si, si, je maintiens les premières »(…). Ensuite, elle m’a demandé de faire un duo avec elle. J’ai fait cette chanson et je l’ai appelée « Bas tiens, je rentre en studio la semaine prochaine, je viens juste de faire une chanson. Est-ce que tu accepterais de la chanter ? » Je la lui ai envoyée, elle m’a dit d’accord et on a fait ce duo ensemble. »

Est-ce que tu fais de la magie ?

« De la magie, j’en ai fait un peu comme ça, en rigolant. J’en ai fait un petit peu aussi sur scène. Je prenais une cigarette et au moment où je l’allumais, elle devenait un coquelicot. »
Les enfants : « Ouah, comment tu fais ? »
« Enfin je ne peux pas le faire là, je n’ai pas de coquelicot. Et j’avais projeté aussi de faire une chose. Je me servais un verre en le tenant dans la main et quand je retirais ma main, le verre restait en l’air pendant que je continuais de vider la bouteille. Et puis, ce n’était pas hyper au point, alors je ne l’ai pas incéré dans mon spectacle. Mais je le ferai peut-être un de ces jours. » (dérision)
Les enfants : « Oh, oui ! »
« Mais je ne suis pas David Copperfield non plus, hein… » (rire général)

Réalisations durant l’année 2011

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Hommage rendu à Madeleine THOMAS par Bruno BETHENOD

Décédée à Dijon le mardi 10 janvier 2012

« Elle fut Maire de la commune de 1983 à 1991.
De son mandat, on retiendra :

  • la création d’une réserve foncière pour le développement de zones d’activités économiques (Bois de l’Ordorat, Gourmerault, Savelles) ;
  • la réalisation de la salle à usages multiples d’Arceau ;
  • l’aménagement du bord de la Tille à Arceau et Arcelot ;
  • l’aménagement et la mise à disposition du bassin communal aux habitants ;
  • la plantation d’arbres le long de la route départementale entre Arceau, Arcelot et Fouchanges ;
  • la commune lui doit aussi la rénovation de l’ancien presbytère ;
  • la mise en valeur des richesses de l’église, notamment les tombes médiévales et la rénovation de la petite chapelle ;
  • elle offrit à la commune l’un des 2 lustres de notre église.

Femme de caractère, elle exerça son mandat avec conviction en étant à l’écoute de ses administrés. »

Consultez l’article publié dans le Bien Public en cliquant ici.

Jeux du XVIIIe siècle

Jeu du tirez-lâchez

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On fait un cercle autour d’une personne ayant de longs rubans dans le poing (1 ruban par personne dans le cercle). Chaque participant de la ronde doit prendre le bout d’un long ruban. La personne au centre doit babiller (quelque chose d’amusant pour détourner l’attention des joueurs !) et doit régulièrement dire “Tirez, lâchez !”. Quand il dit “tirez” alors les joueurs doivent donner du mou et s’il dit “lâchez” alors on doit tirer.

Si certains se trompent, la personne au centre du cercle leur donne un gage (par exemple : “ramenez-moi un mouchoir !” ou “allez “déclamer une tirade à la dame que vous trouvez la plus jolie !”).

Et chacun reprend son ruban et le jeu continue.
(on se trompe souvent à ce jeu, ce qui fait faire beaucoup d’aller-retour et de péripéties)

Jeu du furet

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Plusieurs joueurs forment un cercle tenant dans leur dos un ruban sur lequel ils font passer un anneau, « le furet ». Un joueur (le chasseur) est placé au milieu du cercle et doit dire dans quelle main se trouve l’anneau lorsque la comptine (« il court, il court, le furet… ») s’arrête. S’il a trouvé, il donne un gage à la personne qui l’a si mal caché. S’il ne l’a pas trouvé alors la personne qu’il a désignée lui donne un gage. La personne désignée devient le chasseur.

Jeu des grâces

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Chaque joueur prend deux propulseurs et envoie le cerceau à un autre joueurs. Chacun doit être le plus gracieux possible : on ne compte pas les points mais les passes (et réceptions) gracieuses !

Colin Maillard

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Le chasseur a les yeux bandés et les chassés tournent autour de lui (sans trop s’éloigner) en évitant de se faire toucher. Si le chasseur réussit à toucher un autre joueur, celui-ci s’immobilise et laisse le chasseur lui toucher le visage. Si le chasseur réussit à reconnaître la personne au toucher, alors celle-ci prend la place du chasseur.

Jeu de l’anguille

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On noue un mouchoir très serré : c’est l’anguille. Ensuite tout le monde se met en place pour former un cercle (sauf un joueur qui va porter l’anguille), puis les joueurs se lâchent la main et s’assoient par terre. Ils doivent dès lors regarder droit devant eux.

Celui qui porte l’anguille tourne autour du cercle avec l’anguille en main, tout en babillant (il faut avoir de l’esprit pour tenir un discours amusant). Il va laisser tomber l’anguille derrière quelqu’un et va alors clôturer son monologue en prononçant le mot “anguille” : à ce moment tout le monde regarde s’il a l’anguille derrière lui.

Celui qui l’a, la saisit et doit aller “taper” (gentiment) l’un de ses camarades (ces derniers se mettant en fuite dès qu’ils remarquent qu’ils n’ont pas l’anguille).

Jeu du volant ou badminton

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Aussi étonnant que cela puisse paraître, les jeux utilisant un volant comme balle existe depuis de nombreux siècles. Mais les prémisses du badminton et ses premières règles apparurent au cours du XVIIIème siècle, avec notamment l’apparition d’un filet entre les joueurs. Ce n’est qu’un siècle plus tard, que le badminton devint officiellement un sport avec des règles établies.

C’est un sport de raquette qui oppose des joueurs placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs marquent des points en frappant un volant à l’aide d’une raquette pour le faire tomber dans le demi-terrain adverse. L’échange se termine dès que le volant touche le sol. A noter que le badminton est devenu un sport olympique en 1992.

La révérence

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Les garçons et les filles se font face pour se saluer à la manière du XVIIIe siècle.

Un grand merci à Fanny Wilk, animatrice durant la journée des écoles, pour tous ses nombreux renseignements.

Galerie photo

Grand reportage photo : Les Journées de la Marquise d’Arcelot des 1 et 2 octobre 2011

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Que vous ayez un intérêt particulier ou non pour le XVIIIe siècle, les Journées de la Marquise ne vous laisseront pas de marbre. Musiques, danses, spectacle équestre, vols de rapaces, mais aussi gourmandises et emplettes avec l’atelier chocolat et le marché, il y en avait pour tous les goûts ! Pour les passionnés d’architecture et d’histoire, il était également possible de faire une visite guidée du château.

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Dès l’arrivée au château, nous fument plongés dans l’univers du XVIIIe siècle. Les trompettes de chasse sonnaient le rappel, la fanfare défilait au rythme des tambours et des fifres, et où que l’on posait son regard apparaissaient des personnes aux allures d’un autre siècle. Il faut dire aussi que tout le staff de l’évènement était en costume, en passant du service d’accueil jusqu’à celui de sécurité.

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Les gens sont venus nombreux en ce magnifique week-end ensoleillé de début d’automne. Pas moins de 1500 visiteurs eurent l’occasion de découvrir la vie de la noblesse au XVIIIe siècle grâce à la participation de plus de 130 personnes costumés venus de toute la France mais aussi d’Allemagne, d’Italie et de Suisse.

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Au fait, pourquoi ces festivités s’appelle-t-elles les Journées de la Marquise d’Arcelot? Antoine de Loisy, notre hôte, nous explique que ce nom fut choisi en raison du rôle prépondérant que les marquises d’Arcelot ont joué au fil du temps dans l’histoire du château. Tout d’abord, l’épouse de Philibert Verchère a persuadé son mari de choisir le style néoclassique pour la construction du château qui fut par conséquent le premier de Bourgogne dans ce style architectural au grand succès. Ensuite sa petite fille, Louise Adélaïde, alors à peine âgé de 11 ans, a sauvé le château pendant la révolution (voir l’article sur le château en cliquant-ici). Et enfin, Thérèse, épouse d’Antoine de Loisy, est la principale initiatrice de ces journées.

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Après ce grand succès Thérèse et Antoine de Loisy ont déjà pleins de nouvelles idées pour l’année prochaine et se feront un plaisir de vous y retrouver !

Thématiques sur les Journées de la Marquise d’Arcelot

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