Promenade dans le parc

Les amoureux de la promenade ne me contredirons pas, le jardin Paysager français de 45 hectares du château d’Arcelot est idéal pour passer une agréable après-midi.


Tout autour du parc, les chemins ombragés nous amenèrent à différents endroits insolites tel que l’arboretum composé d’essences remarquables ou rares, les enclos à faisans, à chevaux et à cerfs ; et en son centre, l’étang de 7 hectares où se dresse un très beau pavillon chinois situé sur un îlot au milieu de l’étang et relié à la berge par un pont dans le même style. La présence d’un tel édifice dans le domaine d’un château typiquement français peut être étonnante mais il faut savoir qu’au XVIIIe siècle, les gens eurent un goût prononcé pour les chinoiseries grâce au développement du commerce avec l’Asie par l’intermédiaire de l’Océan Indien.


Durant les Journées de la Marquise d’Arcelot, à pied ou à cheval, les costumés furent omniprésents sur tout le domaine. Quand ils n’étaient pas sollicités par les nombreux visiteurs équipés d’appareil photo digne de professionnels pour posé, nous pouvions les croiser sur les agréables chemins ombragés dont regorge le parc du château ou flânant sous le soleil dans la grande étendue enherbée qu’offrait le domaine.

Vénerie et trompes de chasse

Pour le plus grand plaisir des touts petits comme celui des plus grands, les veneurs était venus accompagnés de toute une meute de jeunes bassets avides de caresses. D’ailleurs, le veneur eut toutes les peines à tenir ses petites bêtes affectueuses devant une telle affluence de personnes. Ce qui ne l’empêcha pas de faire ses démonstrations une fois que le public se mit à bonne distance. Parés de leurs costumes du XVIIIe siècle, Tous les veneurs présents avaient la particularité d’être équipé d’un instrument de musique : la trompe de chasse. Une fois de plus les animateurs furent généreux en explications, saviez-vous que la trompe de chasse est un instrument issu de la vénerie française ?


La chasse à courre est toujours accompagnée de sonneries de trompes (fanfares) qui permettent aux veneurs de communiquer entre eux et avec les chiens. Les veneurs sonnent des fanfares « de circonstance » pour faire connaître les péripéties de la chasse dont ils sont témoins. Ainsi, le « bien-aller » indique que les chiens chassent « en bonne voie », le « débucher » que la meute est en plaine et se dirige vers un autre massif forestier, le « bat-l’eau » que l’animal de chasse est dans un étang ou une rivière, la « vue » que l’animal de chasse est vu par le sonneur. Nous eûmes l’occasion de le découvrir par la participation d’un second groupe composé de quatre joueurs de trompes de chasse qui répondait aux fanfares du premier.

Fauconniers

Chouette effraie, buse, hibou grand duc et faucon pèlerin, les fauconniers ne sont pas venus les mains vides aux Journées de la Marquise. Chaque rapace eu son quart d’heure de gloire provoquant la curiosité et l’admiration de tous pour ces superbes rapaces : les piqués de la buse depuis la cime des arbres environnants, les vols d’un visiteur à un autre de la chouette, les anecdotes historiques sur les faucons pèlerins qui eurent une attention particulière de la part des ducs de Bourgogne et le majestueux vol du hibou grand-duc, le plus grand des rapaces nocturnes d’Europe.


L’animateur fauconnier fut riche en explications sur la vie naturelle des espèces qu’il présentait et sensibilisa les visiteurs à la protection des oiseaux en voie d’extinction. Saviez-vous par exemple que la chouette effraie, encore présente dans nos campagnes (nichée dans les greniers, les granges, les hangars, les clochers…), contribue de façon remarquable à limiter la prolifération des petits rongeurs représentant au moins 90% de son régime alimentaire ?

Dressage équestre

 

Nombreux sont ceux qui savent que monter en amazone signifie chevaucher avec les deux jambes du même côté du cheval, mais savent-ils que l’amazone est également le nom de la tenue portée par les cavalières au XVIIIe siècle, avec une veste très cintrée et une jupe très longue et large comme on peut l’observer sur les photos.


Nous eûmes droit à un splendide spectacle de dressage avec différents airs et allures comme le pas de travers qui permettait aux chevaux de défiler devant le public tout en restant de face. Cependant, il n’y en avait pas seulement pour le plaisir des yeux mais aussi pour celui des oreilles puisque le joueur de basse de viole était présent pour accompagner les cavaliers dont les montures se mirent à danser en couple. Le musicien fut remercié pour sa contribution par une gracieuse révérence équestre digne des dames de la cour du roi.


En fin de journées, nos amis dresseurs de chevaux offrirent une surprise aux visiteurs qu’ils ne sont pas près d’oublier. Devant la terrasse du château, sur des échasses, le dresseur de chevaux nous a offert un spectacle de marionnette hors du commun avec comme complice un gentil petit poney bourré de talant.

Musiques et danses

Sur la terrasse du château, l’ambiance fut festive. Un orchestre composé d’instruments typiques du XVIIIe siècle tel que la vielle à roue, la basse de viole de gambe, le violon et la musette de cour offrirent un large panel des œuvres dansantes de l’époque. De nombreux costumés se prêtèrent aux jeux et participèrent aux démonstrations de danse pour le plus grand plaisir des yeux.


Avec les danses de salon à deux ou en groupe et les danses populaires auxquelles les spectateurs furent invités à participer, et la direction d’un maître du genre, les festivités du XVIIIe siècle n’eurent plus de secret pour personne.

Atelier chocolat de Marie-Antoinette

L’atelier chocolat du XVIIIe siècle proposait aux gens d’apprendre à préparer du chocolat à la façon de Marie-Antoinette, ce qui demande un certain savoir faire. En effet, cette recette fait appel à de nombreux aromates et exige de passer par plusieurs étapes durant la préparation mais je n’en dirai pas plus. Si vous êtes un amoureux ou une amoureuse du chocolat n’hésitez pas à venir l’année prochaine, tout vous sera révélé !


D’ailleurs, durant la préparation un animateur faisait sentir et deviner le nom des aromates et des épices utilisés dans la recette, et petit et grand se prêtèrent au jeu.


La séance s’est terminée avec une dégustation du chocolat de Marie-Antoinette que tous attendait avec impatience, alléchés par toutes les bonnes odeurs emplissant la cuisine.

Marché du XVIIIe siècle

Pour la première fois, les journées de La Marquise d’Arcelot proposèrent un marché aux visiteurs, et quel marché ! Chaussures, costumes et perruques, tout était présent afin d’être paré pour l’année suivante. Mais il y en avait aussi pour tous les goûts et de quoi trouver son bonheur entre la grande variété de paniers, de draperies diverses, de peintures, d’écussons et de drapeaux aux couleurs de différentes armoiries dont celles des ducs de Bourgogne et la présence de figurines et de jouets pour les enfants.


Ce marché fut aussi l’occasion, pour les visiteurs, de découvrir les métiers de l’artisanat pratiqués au XVIIIe siècle. Ainsi la vannière, le tisserand, le bottier, la perruquière et d’autres artisans se firent un plaisir d’initier les curieux à leurs arts séculaires.


A noter aussi qu’un stand fût dédié à la Maison Familiale Rural de Baigneux-les-Juifs et animé par un professeur et un de ses étudiants offrant une présentation et des informations sur le CAP de Tailleur de pierre qu’ils proposaient. Les visiteurs purent observer le jeune homme en pleine création d’un bas-relief et poser des questions à lui et à son professeur.

Fifres et tambours

 

Parée des costumes des compagnies franches de la Marine royale française du XVIIIème siècle, la troupe fut sur tous les fronts, attirant les visiteurs aux différents sites du parc.


Ils nous offrirent un magnifique spectacle empli d’humour et de prouesses techniques : Un chef d’orchestre envoyant des boutades à ses troupes, les musiciens utilisant les instruments de leurs comparses que ce soit les fifres ou les tambours.

Vœux du Maire 2012

Reportage Photo : Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ à l’école d’Arceau le 10 janvier 2012

Depuis l’arrivée de Brahim Rhiate à l’école en tant qu’animateur, les jeunes arcelois ont été véritablement plongés dans la musique, un apport culturel apprécié par les enfants comme par ses collègues. Professeur de guitare et concertiste, il apprend à la quasi totalité des enfants de l’école, le solfège et bien entendu la guitare. Mais il ne s’est pas arrêté là, car, grâce à ses enrichissantes connaissances dans le milieu musical, il donna l’occasion aux enfants de, notamment, découvrir les instruments de percussion africaine et, il y a peu, de rencontrer deux grands artistes : Yves Jamait et Daniel Fernandez.

La rencontre

  Cette rencontre commença par un discours de présentation de monsieur le Maire aux enfants. Monsieur Bethenod insista, alors, sur l’importance de l’amitié dans la vie de tout un chacun, en l’illustrant par le fait qu’elle ait permis cette rencontre. « Lorsqu’on a des amitiés fortes, elles peuvent nous porter loin. » Conclut-il. C’est certainement un concept partagé par Yves Jamait puisqu’on le retrouve souvent sur scène avec de nombreux autres artistes, avec lesquels il considère former une famille de la chanson. Il a même créé plusieurs tournées à travers la France, s’intitulant le « Bar à Jamait », où il y réunit des artistes de la chanson française, aux grands talents mais peu médiatisés, dans une ambiance de franche camaraderie.

L’interview

  Les enfants, impressionnés, ne se montrèrent pas très bavards au début de la rencontre. Mais l’ouverture et la convivialité, dont fit preuve Yves Jamait, les mirent rapidement à l’aise. Les questions allèrent alors bon train : les inévitables « Comment avez-vous connu la chanteuse ZAZ ? », les amusantes « Comment fais-tu si tu te trompes dans tes chansons ? », les indiscrètes « Êtes-vous riche ? », les étonnantes « Est-ce que tu fais de la magie ? ». Yves Jamait eu droit à tout mais il prit le temps de répondre à chacune sans jamais se dérober avec une pointe de dérision et d’humour propre à son tempérament. (Vous pourrez lire un extrait de l’interview à la fin de cet article) 

Les Mots Chocolat

  A la fin de l’interview les enfants réclamèrent en cœur une chanson, tout en tapant du pied : « une musique, une musique, une musique, … »

  Pendant que son confrère Daniel Fernandez, excellent guitariste, accordait sa guitare, Yves Jamait, assis au milieu du public, expliquait aux enfants ce qu’il était en train de faire et pourquoi.

  Puis Yves Jamait prévint les enfants qu’il allait les accompagner à la guitare mais que c’était à eux de chanter. En effet, il avait été invité pour venir écouter l’interprétation de sa chanson, « les Mots Chocolat », par les enfants de l’école d’Arceau. En tant qu’apologie à l’affection entre parents et enfants, cette chanson avait été choisie par les enfants pour le final du spectacle qu’ils avaient interprété devant leurs familles. Mais devant Yves, ceux-ci restèrent sans voix, osant à peine murmurer les paroles. Alors son auteur se mit à chanter pour leur donner du cœur au ventre. Le résultat en fut une adorable chorale s’améliorant et prenant de l’assurance au fur et à mesure que la chanson avançait « ♪♫ … Mon vieux bout de papa, ton p’tit bout de nana n’est pas conne … ♫♪ » (parole de la chanson les mots chocolat), jusqu’à ce qu’Yves s’arrête soudainement et s’exclame : « Vous ne vous faites pas suer là, dire des gros mots, comme ça, à l’école, ça va pas non ? » « rire général », et les enfants se rebiffèrent « c’est toi qui l’a écrite cette chanson, non ? ». Le débat continua encore un peu, puis Yves reprit la chanson accompagné par les enfants, plus confiants que jamais.

Les chansons

  Après “les mots chocolat”, Yves Jamait nous offrit une autre chanson : “Gare au train”. La bonhomie du personnage nous ferait oublier le monstre de la chanson française qui nous faisait face. C’est seulement au moment où il commença sa chanson que l’on en prit conscience. Un timbre unique, une voie puissante qui vous prend directement aux tripes et vous impose le silence. Une justesse sans équivoque malgré l’absence d’échauffement, à un point tel qu’en fermant les yeux, on aurait pu croire que l’on écoutait son dernière album “Saison 4”. Mais ce professionnalisme n’est pas venu tout seul. En effet, Yves Jamait ne fut pas un artiste propulsé par les médias mais s’est fait connaître par ses nombreuses représentations, passant de la scène du Café de l’Univers à celle du Zénith, et par le bouche à oreille témoignant de la qualité et de la sensibilité que l’on retrouve dans ses œuvres.

  Puis ce fut au tour de Daniel Fernandez de nous faire profiter de ses talents. Dans un genre tout à fait différent de celui d’Yves Jamait, sa musique s’inspire de ses racines espagnoles mais aussi de ses nombreux voyages à travers le monde. Il a alors choisi de nous interpréter “Vida Mia Sin Ti”, une chanson qui l’a accompagné tout au long de sa carrière, l’adaptant à chaque fois avec l’apport musical de nouveaux artistes. Nous avons tout naturellement eu droit à la version en duo avec Yves Jamait, issue de son deuxième album “Selon”, donnant naissance à une formidable fusion de leurs univers respectifs. A travers leurs voix tantôt douces tantôt percutantes, ils nous firent voyager de la France à l’Andalousie dans une complainte, aux arpèges gracieux, évoquant un souvenir bouleversant.

Une grande complicité entre artistes

En rencontrant les artistes, nous ne pouvions pas ignorer la fraternité qui se dégageait de ces deux personnages. Même s’ils nous ont offert, chacun, une de leurs chansons, ils ne pouvaient pas s’empêcher de les interpréter ensemble, et ceci pour le plus grand plaisir de tous.

  Durant la chanson “Gare au train”, Daniel rythmait de ses mains et soulignait les paroles d’Yves de sa voix exotique. Puis, quand Daniel commença à chanter la sienne, Yves le taquina en déclarant : « On ne comprend pas tout ce qu’il dit, mais ce n’est pas grave », ce qui bien entendu fit rire les enfants sur l’instant, en dépit de la teneur solennelle de la chanson. Décidément, il ne rate jamais une occasion d’amuser la galerie ! Malgré tout, il redevint sérieux et apporta sa véritable contribution à la chanson.

  A la fin de cette dernière, Daniel demanda aux enfants dans quelle langue il avait chanté. Quelques uns répondirent de l’anglais et Yves sauta sur l’occasion pour en rajouter une couche : « Oui c’est ça, mais il prononce mal l’anglais, c’est pour ça qu’on ne comprend pas ». Enfin, ce furent les maitresses qui trouvèrent la bonne réponse : l’espagnol.

  Encouragé par les enfants, Daniel se lança dans un air endiablé sur lequel Yves se mit à danser et frapper dans ses mains tel un danseur de Flamenco.

Cette complicité ne date pas d’aujourd’hui. Tout deux originaires de Dijon, leur rencontre s’est faite dès le début de leurs carrières musicales, où ils se sont tout de suite trouvés des atomes crochus, malgré leurs styles musicaux distincts. Depuis lors, ils sont toujours restés proches, dans la vie comme sur les planches de la scène.

Remerciements

  Pour les remercier d’être venu, monsieur Bethenod offrit aux deux artistes, le livre richement illustré “L’Histoire d’Arceau et de ses hameaux : Arcelot et Fouchanges” retraçant l’histoire de la commune depuis ses premiers jours.

  Après la séance de dédicace, monsieur le Maire les invita à boire le verre de l’amitié à la mairie accompagné des enseignantes et de Brahim.

Nous tenons encore à les remercier pour cette chaleureuse et enthousiasmante visite qu’aucun enfant de l’école n’oubliera.

Extrait de l’interview réalisée par les enfants

Découvrez ou suivez l’actualité des deux artistes sur leurs sites internet

www.jamait.fr
www.danielfernandez.fr

Reportage Photo : Vente de Bijoux et d’Objets de l’Artisanat d’Afrique de l’ouest du 17 décembre 2011

Depuis déjà quelques années, une habitante de la commune organise, en décembre, une vente d’objets et de bijoux de fabrication artisanale, ramenés chaque année et par ses soins, du Togo et du Bénin.

Cette vente est faite au profit d’une association d’aide humanitaire, Solidarité Brûlés Nantes Lomé, dont elle est une actrice des plus actives. Ancien coopérant au Cameroun (1972 – 1974), monsieur le Maire soutient avec passion cet engagement envers les autres.

Un engagement

Le Bénin

  Passionnée par l’Afrique, Michèle Curot se rend depuis de nombreuses années au Bénin où elle apporte un soutien concret à des ONG venant en aide à des enfants délaissés. Son aide se traduit par le suivi de deux orphelinats : L’un est dirigé par une Religieuse qui recueille des nouveau-nés abandonnés et des enfants maltraités ou privés de famille. L’autre est en projet de construction dont 30 enfants, déjà, attendent la générosité de chacun.

  Tous ces enfants sont heureux de recevoir, jouets, vêtements et fournitures scolaires, qu’elle distribue lors de ses voyages.

Le Togo et l’association Solidarité Brûlés Nantes Lomé (SBNL)

  En 2002, Michèle Curot, infirmière au CHU de Dijon est sollicitée par une association, pour intégrer une équipe médicale de Nantes, et participer à une mission chirurgicale au CHU de Lomé, capital du Togo. Née de réflexions menées à la suite de cette mission, l’association Solidarité Brulés Nantes Lomé est créée en 2003. Celle-ci s’est donnée pour mission d’apporter son aide au CHU de Lomé et à ses patients par la prise en charge des brûlés et le traitement des séquelles de brûlures. En effet, par manque de moyens médicaux et d’absence de couverture sociale, la prise en charge reste difficile voire impossible, l’hospitalisation et le traitement onéreux restant entièrement à la charge du patient. Les brûlés n’ayant pas de suivi médical, la cicatrisation faite spontanément engendre de graves problèmes fonctionnels, tels que brides et rétractions. Celles-ci génèrent un handicap sévère qui exclue les patients de toute vie scolaire ou sociale.

  Deux missions sont organisées chaque année lors desquelles, en moyenne, 150 patients sont vus en consultation et 45 sont opérés. Afin d’être complètement autonome, l’association SBNL travaille en partenariat avec le laboratoire Medline et les Rotary Club du Togo. Le matériel (consommables) lui est fourni par différents laboratoires. Les fonds de SBNL proviennent de dons, de subventions et d’actions menées toute l’année par les membres de l’association et les bénévoles. En retour, un compte rendu des missions et un rapport d’activités détaillé sont présentés chaque année à tous les adhérents. A ce jour 1500 patients ont été vus en consultation et 500 opérés.

Sensibilisation des jeunes générations

  Il faut savoir qu’au Togo les cas de brûlures graves sont immensément plus fréquents que dans un pays comme la France pour de nombreuses raisons. Les principales sont les accidents domestiques. Ayant un niveau de confort bien moins élevé qu’en France, la plupart des foyers présentent beaucoup plus de risque. Les repas sont cuits à même le sol dans une salle commune et il arrive régulièrement que les plus jeunes enfants s’ébouillantent. De plus, l’utilisation de lampes à pétrole, de bougies, de brasero et le fait que l’essence est vendue au détail, provoque de fréquents accidents voire des incendies. Cette tendance est confirmée par l’expérience des praticiens de l’association, puisque, lors de leurs missions, ils ont constaté que 50% des patients opérés sont des enfants de moins de 18 ans et que 50% des brûlures sont des atteintes du membre supérieur.

  C’est pourquoi, l’association SBNL a décidé de réaliser un partenariat avec l’école publique primaire Tokoin ouest, proche du CHU de Lomé, afin de développer une campagne de prévention sur les brûlures. Les enfants sont ainsi, chaque année, sensibilisés à la brûlure, ses causes et la conduite à tenir en cas d’accident. Cette école manquant de nombreuses choses, l’association les soutient aussi par l’apport de fournitures scolaires et de livres qui ont participé à l’élaboration de leur bibliothèque maintenant en fonction.

  La pédagogie passe également par les plus grands, puisque l’équipe de l’association donne gracieusement des cours sur le traitement des brûlures aigues aux nombreux étudiants en médecine qui veulent y participer.

En résumé, les objectifs de l’association SBNL sont :

  • d’assurer la prise en charge des brûlés aigus et des patients atteints de séquelles
  • d’organiser des campagnes d’information et de prévention, auprès des écoles, dispensaires et services sociaux
  • de former les équipes médicales et paramédicales locales
  • d’aider les patients à la réinsertion scolaire ou sociale

A la salle des fêtes d’Arceau

  C’est ainsi que Michèle Curot, à travers ses nombreux voyages, ramènent tous ses articles du Togo et du Bénin. Allant de ville en village, elle rencontre les artisans locaux sur les marchés et y découvre de petites perles d’art telles que des scènes de vie africaines peintes sur toile et montées sur cadre pirogue en ébène, discret et original ou de petites sculptures d’ébène et de bronze finement ouvragés qu’elle est ravie de nous rapporter.

  Bracelets, colliers, sautoirs, boucles d’oreille en ébène de pierre semi-précieuse, d’ébène tout est présent et à côté de chez vous pour faire plaisir à une femme ou une mère, en cette période où les magasins sont bondés. Cette touche exotique et originale ne manquera certainement pas d’être appréciée. Qui plus est, madame Curot et ses amies seront à même de vous faire les paquets cadeaux.

  Au Bénin, la société est beaucoup moins axée sur la consommation et par conséquent ses habitants apprennent très jeune à faire les choses par eux-mêmes comme les travaux de couture. Ainsi les jolies poupées africaines, girafes et éléphants ont été réalisés par une handicapée togolaise et le large choix de sacs, trousses et vanity en tissus richement colorés, par les familles des patients brûlés.

Des cadeaux utiles aux autres pour faire plaisir à ses proches

  En participant à cette vente, vous permettrez à l’Association Brûlés Nantes Lomé d’améliorer l’impact de leurs missions. Alors, nous comptons sur vous pour venir nombreux aux ventes des années prochaines.

Les derniers comptes-rendus des missions de l’association Solidarité Brûlés Nantes Lomé

  Certaines photos de patients brûlés peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes, dans les comptes-rendus suivants.

Informations et contacts :

Orphelinats du Bénin auxquels Michèle Curot apporte son soutien :

  • Orphelinat Ondam, Notre Dame de la Miséricorde situé à Adjara
  • Orphelinat Bénin-Vignon situé à Dahe, en construction

Site internet :

  • E-mail de l’Orphelinat Ondam : ondamm1@yahoo.fr
  • Site de l’association Bénin-Vignon prenant en charge la construction de l’orphelinat et le suivi de ses enfants : http://assovignon.jimdo.com/

Reportage Photo : Exposition de Peintures et Sculptures 2011

Pour sa 7ème édition, l’exposition de peintures et sculptures d’Arceau fut une réussite. A cette occasion, de nombreux artistes bourguignons sont venus faire découvrir leurs œuvres au public d’Arceau et de ses environs.  Huiles sur toile ou au couteau, aquarelles, acryliques, pastels, mais aussi sculptures sur bois ou fer forgé et bijoux de pierres fines serties ; tous les styles et les techniques étaient représentés malgré une tendance plus axée sur le figuratif que sur l’abstrait. Quoi qu’une touche d’abstrait était quasi toujours présente, comme l’a si bien dit lors de son discours Nellie Vivet, présidente de l’association les Charmes d’Arceau et organisatrice de l’exposition : « La frontière entre le figuratif et l’abstrait n’existe pas : il s’agit de s’approprier ce que l’on voit pour en faire ce que l’on veut, ce que l’on est. »

  Cette manifestation a été créée dans le but de contribuer à la valorisation de l’art et des artistes de notre région. Ainsi, les artistes présents étaient nombreux à être amateurs, autodidactes ou formés dans des ateliers de village, ce qui ne les empêche pas d’être très talentueux. Par exemple, Luc Rochette est avant tout un éminent scientifique, professeur de physiologie et directeur du laboratoire de pathologie cardiaque et vasculaire de la faculté de Dijon. Humaniste de grande sensibilité, son travail ne lui permet pas d’exprimer pleinement et librement ses émotions et sa créativité. Liberté qu’il retrouve dans la peinture durant son temps libre. Ses peintures du moment sont des paysages transfigurés par l’expérience de son métier et les émotions qui l’ont formé tout au long de sa vie chargée (voir les articles du Bien Public ci-dessous).

  Les artistes, qu’ils soient amateurs ou non, nous ont permis de voyager à travers la France et le monde comme Luc Rochette avec ses peintures tout droit sorties du Creusot et de la Provence ou comme d’autres avec de magnifiques paysages du désert namibien ou des grandes cités américaines tel que New York.

  Les enfants de l’école d’Arceau ont eu aussi contribué à leur manière à la manifestation puisqu’ils ont réalisé des dessins et des collages présentés à l’entrée de la salle des fêtes, nous rappelant nos jeunes années.

  Dimanche soir, la loterie fut tirée au sort par un jeune garçon aux « mains innocentes » et madame Vivet attribua les récompenses que les artistes ont généreusement données. Petite anecdote amusante : Monsieur le Maire d’Arceau a gagné l’une des premières œuvres de madame Vivet.

  L’exposition terminée, artistes, organisateurs et visiteurs se retrouvèrent pour partager le verre de l’amitié. Même si des rendez-vous sont déjà pris pour l’année prochaine, la nouvelle saison ne fait que commencer pour Nellie Vivet et elle est fin prête à repartir sur les routes de Bourgogne à la recherche de nouveaux talents ; nous vous attendons, donc, encore aussi nombreux l’année prochaine pour la 8ème édition de l’exposition de peintures et sculptures d’Arceau, le week-end des 17 et 18 novembre 2012.

Reportage Photo : Festival Les Chérubins d’Arcelot des 26, 28 et 30 août 2011

Si l’on apprécie ou que l’on veut découvrir la musique de chambre, le festival des Chérubins est un rendez-vous à ne pas manquer.


Pour sa 4ième édition, le festival des Chérubins a réuni un large public que ce soit par l’âge ou la localité. En effet, certains spectateurs sont venus de loin pour assister aux représentations.


Le festival des Chérubins est un évènement peu commun, puisqu’il propose d’assister à des concerts de musique classique dans le magnifique salon du château d’Arcelot dont la famille de Loisy a aimablement ouvert les portes au public.


Depuis plusieurs années déjà, les concerts de Maximilien Borron ont contribué au dynamisme en milieu rural. D’une part, à Arceau ses représentations au château sont organisées par une association de la commune, « Les Charmes d’Arceau », dont les bénévoles se surpassent chaque année pour que cette manifestation puisse continuer à exister. D’autre part, Maximilien Borron contribue, à sa façon, à la pérennité du château d’Arcelot, figure emblématique de son village natal.


Le festival Les Chérubins se compose de trois représentations. La première est un récital de piano interprété par Maximilien Borron qu’il a dédié cette année à Catherine de Loisy, la regrettée mère d’Antoine de Loisy, qui n’est autre que la personne à l’origine de l’organisation de ses concerts au château d’Arcelot. L’artiste nous a offert un récital admirable avec une sonate de Beethoven et une autre de Mozart durant la première partie du concert, la seconde étant entièrement consacrée à Liszt en raison du bicentenaire de sa mort célébré cette année.


Les deux représentations suivantes sont des récitals de piano et violoncelle interprétés cette année par Maximilien Borron et Mark Drobinsky. Ce dernier a déjà participé une fois au festival par le passé, et la chaleureuse complicité dont ils ont fait preuve a su transporter le public.


L’hétérogénéité des œuvres interprétées a permis aux novices de pouvoir découvrir la musique de chambre sous toutes ses coutures. En effet, Les deux artistes nous ont offert en premier lieu une célèbre sonate de Beethoven énergique et impétueuse ; puis, la sonate pour piano et violoncelle de Debussy, mélange d’humour sarcastique et de poésie mélancolique, qu’il a composée peu de temps avant sa mort.


La représentation s’est poursuivit avec une sonate de Brahms romantique et émouvante ; et enfin avec des œuvres originales du compositeur tchèque Dvorak, la première étant un rondo généreux et entrainant suivie par le « Calme du Bois » doux et rêveur.


Le festival a eu un tel succès qu’à chaque représentation les artistes ont dû offrir plusieurs rappels au public voulant rester dans la magie de cet instant.


Après chaque concert, les spectateurs furent conviés au caveau du château à un apéritif dinatoire où ils eurent l’occasion de rencontrer les artistes et admirer une exposition de tableaux de deux artistes bourguignons, Yves Lanaud et Guy Lachot.


Présentation des Artistes

Maximilien BORRON
Piano…

Formé par les grands pédagogues Cyril Huvé, Marie-Paule Siruguet, Hortense Cartier Bresson, Ronan O’Hora, Maria Curcio et Lev Naoumov, Maximilien Borron a suivi un parcours initiatique de Dijon à Paris puis de Londres à Moscou au sein de très prestigieuses institutions telles que la Guildhall School of Music, le Royal Collège of Music à Londres et le Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou.

Il réside actuellement en forêt bourguignonne, lieu propice à l’inspiration musicale.

Maximilien Borron a été invité à se produire au festival de La Rochepot, de La Charité sur Loire, à l’opéra-théâtre de Besançon. Il a joué le concerto de Janacek au festival de musique slave à Chalon-sur-Saône sous la baguette du chef d’orchestre Philippe Camberling. Depuis plusieurs années il rejoint chaque été un public fidèle dans le merveilleux décor du château d’Arcelot. Son répertoire est étendu et embrasse tous les styles de Bach à Ligeti en passant par Beethoven, Chopin, Mozart, Liszt, Mendelssohn, Moussorgski, Ravel, Poulenc, Prokofiev…

Mark DROBINSKY
Violoncelle…

Ancien élève de Mstislav Rostropovitch au Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou, Mark Drobinsky obtient le premier prix de musique de chambre au concours international de Munich. Alors professeur à l’institut Gnessine, il quitte l’URSS en 1974 et se rend en Israël avant de se fixer à Paris.

Mark Drobinsky est alors invité dans tous les plus grands festivals.

Il est directeur artistique du festival « Les Sommets du ClassiquE » et dirige celui de Villars en Suisse dont il est cofondateur : Pour la 11° édition des classiques de Villars, à la grande salle de Villars sur Ollon, Mark Drobinsky a joué la Jazz Suite de Claude Bolling compositeur et pianiste de jazz français.

Tout en dominant le répertoire classique, il est passionné d’œuvres à découvrir et ardent défenseur de la musique de notre siècle composée par Sauguet, Henri Dutilleux, Schnittke ou René Herbin.

Les critiques sont unanimes à reconnaître en lui un des nouveaux maîtres du violoncelle.

Mot de remerciement de Nellie Vivet, présidente de l’association Les Charmes d’Arceau


La présidente de l’Association « les charmes d’Arceau » adresse ses remerciements :

  • à tous ceux qui ont contribué à la réussite de ces journées de festival.
  • et particulièrement la Mairie d’Arceau qui participe par l’octroi de boissons, les impressions et l’accord d’une subvention.
  • ainsi que le conseil général dont nous avons eu la présence en la personne de M Laurent Thomas Maire de Mirebeau.
  • et les habitants d’Arceau ou des villages voisins qui montrent leur sympathie envers ces manifestations et le goût de la belle musique bien interprétée dans notre village.

Dernier jour d’école et remise des livres de contes pour enfants offerts par l’éducation nationale le 1er juillet 2011

Cérémonie du 8 mai 2011

Jeux du XVIIIe siècle

Jeu du tirez-lâchez

jeu-du-tirez-lachez

On fait un cercle autour d’une personne ayant de longs rubans dans le poing (1 ruban par personne dans le cercle). Chaque participant de la ronde doit prendre le bout d’un long ruban. La personne au centre doit babiller (quelque chose d’amusant pour détourner l’attention des joueurs !) et doit régulièrement dire “Tirez, lâchez !”. Quand il dit “tirez” alors les joueurs doivent donner du mou et s’il dit “lâchez” alors on doit tirer.

Si certains se trompent, la personne au centre du cercle leur donne un gage (par exemple : “ramenez-moi un mouchoir !” ou “allez “déclamer une tirade à la dame que vous trouvez la plus jolie !”).

Et chacun reprend son ruban et le jeu continue.
(on se trompe souvent à ce jeu, ce qui fait faire beaucoup d’aller-retour et de péripéties)

Jeu du furet

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Plusieurs joueurs forment un cercle tenant dans leur dos un ruban sur lequel ils font passer un anneau, « le furet ». Un joueur (le chasseur) est placé au milieu du cercle et doit dire dans quelle main se trouve l’anneau lorsque la comptine (« il court, il court, le furet… ») s’arrête. S’il a trouvé, il donne un gage à la personne qui l’a si mal caché. S’il ne l’a pas trouvé alors la personne qu’il a désignée lui donne un gage. La personne désignée devient le chasseur.

Jeu des grâces

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Chaque joueur prend deux propulseurs et envoie le cerceau à un autre joueurs. Chacun doit être le plus gracieux possible : on ne compte pas les points mais les passes (et réceptions) gracieuses !

Colin Maillard

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Le chasseur a les yeux bandés et les chassés tournent autour de lui (sans trop s’éloigner) en évitant de se faire toucher. Si le chasseur réussit à toucher un autre joueur, celui-ci s’immobilise et laisse le chasseur lui toucher le visage. Si le chasseur réussit à reconnaître la personne au toucher, alors celle-ci prend la place du chasseur.

Jeu de l’anguille

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On noue un mouchoir très serré : c’est l’anguille. Ensuite tout le monde se met en place pour former un cercle (sauf un joueur qui va porter l’anguille), puis les joueurs se lâchent la main et s’assoient par terre. Ils doivent dès lors regarder droit devant eux.

Celui qui porte l’anguille tourne autour du cercle avec l’anguille en main, tout en babillant (il faut avoir de l’esprit pour tenir un discours amusant). Il va laisser tomber l’anguille derrière quelqu’un et va alors clôturer son monologue en prononçant le mot “anguille” : à ce moment tout le monde regarde s’il a l’anguille derrière lui.

Celui qui l’a, la saisit et doit aller “taper” (gentiment) l’un de ses camarades (ces derniers se mettant en fuite dès qu’ils remarquent qu’ils n’ont pas l’anguille).

Jeu du volant ou badminton

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Aussi étonnant que cela puisse paraître, les jeux utilisant un volant comme balle existe depuis de nombreux siècles. Mais les prémisses du badminton et ses premières règles apparurent au cours du XVIIIème siècle, avec notamment l’apparition d’un filet entre les joueurs. Ce n’est qu’un siècle plus tard, que le badminton devint officiellement un sport avec des règles établies.

C’est un sport de raquette qui oppose des joueurs placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs marquent des points en frappant un volant à l’aide d’une raquette pour le faire tomber dans le demi-terrain adverse. L’échange se termine dès que le volant touche le sol. A noter que le badminton est devenu un sport olympique en 1992.

La révérence

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Les garçons et les filles se font face pour se saluer à la manière du XVIIIe siècle.

Un grand merci à Fanny Wilk, animatrice durant la journée des écoles, pour tous ses nombreux renseignements.

Galerie photo

Grand reportage photo : Les Journées de la Marquise d’Arcelot des 1 et 2 octobre 2011

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Que vous ayez un intérêt particulier ou non pour le XVIIIe siècle, les Journées de la Marquise ne vous laisseront pas de marbre. Musiques, danses, spectacle équestre, vols de rapaces, mais aussi gourmandises et emplettes avec l’atelier chocolat et le marché, il y en avait pour tous les goûts ! Pour les passionnés d’architecture et d’histoire, il était également possible de faire une visite guidée du château.

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Dès l’arrivée au château, nous fument plongés dans l’univers du XVIIIe siècle. Les trompettes de chasse sonnaient le rappel, la fanfare défilait au rythme des tambours et des fifres, et où que l’on posait son regard apparaissaient des personnes aux allures d’un autre siècle. Il faut dire aussi que tout le staff de l’évènement était en costume, en passant du service d’accueil jusqu’à celui de sécurité.

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Les gens sont venus nombreux en ce magnifique week-end ensoleillé de début d’automne. Pas moins de 1500 visiteurs eurent l’occasion de découvrir la vie de la noblesse au XVIIIe siècle grâce à la participation de plus de 130 personnes costumés venus de toute la France mais aussi d’Allemagne, d’Italie et de Suisse.

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Au fait, pourquoi ces festivités s’appelle-t-elles les Journées de la Marquise d’Arcelot? Antoine de Loisy, notre hôte, nous explique que ce nom fut choisi en raison du rôle prépondérant que les marquises d’Arcelot ont joué au fil du temps dans l’histoire du château. Tout d’abord, l’épouse de Philibert Verchère a persuadé son mari de choisir le style néoclassique pour la construction du château qui fut par conséquent le premier de Bourgogne dans ce style architectural au grand succès. Ensuite sa petite fille, Louise Adélaïde, alors à peine âgé de 11 ans, a sauvé le château pendant la révolution (voir l’article sur le château en cliquant-ici). Et enfin, Thérèse, épouse d’Antoine de Loisy, est la principale initiatrice de ces journées.

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Après ce grand succès Thérèse et Antoine de Loisy ont déjà pleins de nouvelles idées pour l’année prochaine et se feront un plaisir de vous y retrouver !

Thématiques sur les Journées de la Marquise d’Arcelot

Cliquez sur le titre ou la photo de l’animation qui vous intéresse :

Modifications du ramassage des ordures ménagères

Dernières infos sur le flash info de décembre 2012

voir le flash

Ramassage des déchets recyclables

La distribution des bacs jaunes interviendra en décembre 2012 et janvier 2013.

Les bacs seront déposés devant les habitations, aucune intervention des usagers ne sera nécessaire. Il vous est toutefois demandé de rentrer votre bac rapidement, afin qu’il ne soit ni volé ni dégradé.

Tout foyer n’ayant pas reçu son bac, alors que ses voisins sont équipés, devra donner ces renseignements au Syndicat Mixte (Contacts en bas de page) :

  • Nom, Prénom
  • Adresse
  • Nombre de personnes composant le foyer (afin de déterminer la capacité du bac)

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Les informations concernant le ramassage des emballages et papiers à recycler vous seront fournies à la livraison de votre bac jaune. Cette livraison aura lieu en fin d’année 2012 à votre domicile, gratuitement et sans intervention de votre part.

Ramassage des déchets non recyclables

Afin d’améliorer la qualité du service concernant la collecte sélective, les délégués du Syndicat Mixte ont voté le ramassage au porte-à-porte des emballages en plastique, métal et carton, ainsi que des papiers.

En raison de cette prochaine mise en place, les tournées de ramassage des ordures ménagères seront modifiées à compter du lundi 19 novembre 2012. A Arceau, le ramassage des déchets non recyclable ne se fera plus le mardi mais tous les mercredis.

Se tenir informé

Ces informations ont été données par le Syndicat Mixte de collecte et de traitement des déchets ménagers et assimilés des cantons de Mirebeau-sur-Bèze et Pontailler-sur-Saône. Vous pouvez consulter son site internet à cette adresse de notre site reste valable jusqu’à l’arrivée des bacs jaunes. Elle sera mise à jour dès que nous recevrons de nouvelles informations.

Contacts

  • Syndicat Mixte de collecte et de traitement des déchets ménagers et assimilés des cantons de Mirebeau-sur-Bèze et Pontailler-sur-Saône
  • 11 rue de la Gare
  • 21270 PONTAILLER-SUR-SAÔNE
  • Tél. : 03 80 10 05 57
  • Fax : 03 80 10 05 58
  • E mail : contact@syndicat-mixte.fr
  • Site internet : [www.syndicat-mixte.fr->www.syndicat-mixte.fr]