Il y a trois hébergements touristiques sur la commune d’Arceau. Vous pouvez vous renseigner et faire vos réservations en cliquant sur les liens suivant :
Itinéraire de l’étang d’Arceau
Pour connaître les modalités d’accès à l’étang, veuillez consulter la page Pêche à l’étang d’Arceau dans la rubrique Loisirs .
Site internet du château : cliquez ici
A l’origine, Arcelot disposait d’un fort médiéval et d’une chapelle datant de 1217.
En 1636, le village d’Arcelot fut détruit par les barbares de Gallas dans le cadre de la guerre des deux Bourgognes. En effet, Arceau se situait proche de la frontière entre la Bourgogne sous l’influence du royaume d’Espagne (aujourd’hui la Franche Comté) et la Bourgogne sous l’influence du royaume de France.
Ces terres furent achetées par Philibert 1er Verchère d’Arcelot en 1711, et la même année, il y construisit les deux pavillons du château dont une chapelle (à l’emplacement de l’ancienne). Son petit-fils, Philibert II, fit ensuite construire la partie centrale en 1761 par Thomas Dumorey, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées de Bourgogne. A la mort du dernier Verchère d’Arcelot en 1870, Guillaume (décédé sans héritier), le château passa à son petit neveu Albert Carrelet de Loisy, petit-fils de Louise-Adélaïde, et est toujours resté depuis dans la famille.
En 1790 Antoine Verchère, son père, doit quitter son poste de président du Parlement de Bourgogne qui est dissous, et remplacé par un tribunal révolutionnaire. Sous la Terreur, ce dernier accuse Antoine Verchère de cacher des émigrés, qui doit fuir avec son fils Guillaume (à Lyon). Peu après c’est au tour des religieuses gardant Louise-Adélaïde au pensionnat à Dijon d’être menacées ; elles doivent ramener la jeune fille à Arcelot avant de s’enfuir.
Alors que la chapelle et le château avaient été fermés par les révolutionnaires, Louise-Adélaïde, âgée d’à peine 11 ans, dût vivre seule dans une petite pièce de l’aile nord, les autres pièces étant occupées par la famille de la cuisinière, Mme Lamblin. Celle-ci devant déjà subvenir à sa famille, Louise-Adélaïde vécut dans des conditions très misérables, survivant grâce à des petits travaux de couture et de mendicité. Mineure, elle devait en plus se rendre régulièrement, et à pied (tantôt avec Mme Lamblin, tantôt seule) à Dijon au tribunal révolutionnaire, afin de faire valoir ses droits sur Arcelot et éviter la réquisition du château. Chahutée par des révolutionnaires amusés, elle fut prise en pitié par le président du tribunal, mais refusa de loger chez lui, et continua son labeur pendant 4 ans.
Par la suite elle se maria avec Antoine Carrelet de Loisy, également issu du Parlement.
Le château est la première construction de style Néoclassique en Bourgogne. Nous le devons à Thomas Dumorey, qui a participé à la réalisation du canal de bourgogne et à l’architecture de la rue de la liberté que nous connaissons. A cette époque, la découverte et les fouilles des sites de Pompéi et d’Herculanum remirent au goût du jour les formes antiques, et nous retrouvons beaucoup d’éléments gréco-romains dans l’architecture du château d’Arcelot. On retrouve aussi ce style à l’intérieur du château par la présence de stucs et de trompe-l’œil.
Le château a toujours été développé dans le but de mettre en avant l’art et la culture. Certains meubles sont d’artistes dijonnais du XVIIIe siècle ; une chambre leur est consacrée. La famille a réuni au cours du temps une belle bibliothèque (cachée pendant la révolution) et une collection d’œuvres d’art dépaysantes qui se marient à merveille avec le style du château.
A l’origine, le jardin de 45 Ha du château fut dessiné par Thomas Dumorey dans un style classique français. Vers 1800, Jean-Marie Morel, 1er théoricien des jardins, transforma le parc du château dans le style Paysager, l’un des seuls qui lui subsiste. Ce style a pour principe d’accompagner la nature et non pas la dominer. C’est ainsi que nous obtenons un paysage changeant en fonction des saisons, avec des effets de perspectives.
A cette époque, les gens eurent un goût prononcé pour les chinoiseries, c’est pourquoi nous pouvons observer un très beau pavillon chinois situé sur un îlot au milieu de l’étang de 7 Ha, et relié par un pont dans le même style.
A noter aussi qu’un arboretum composé d’essences remarquables ou rares se développe et se fond dans ce parc Paysager.
Le festival Les Chérubins d’Arcelot
Chaque été, des concerts de musiques classiques sont organisés au château : « le Festival des Chérubins ». L’artiste récurrent de ce festival n’est autre que Maximilien Borron, talentueux pianiste originaire d’Arceau, qui fait appel à des collègues de sa connaissance pour l’accompagner.
Festival les Chérubins d’Arcelot des 26, 28 et 30 août 2011
Les Journées de la Marquise d’Arcelot
La famille Carrelet de Loisy organise aussi un évènement chaque premier week-end d’octobre, « les Journées de la Marquise d’Arcelot». Pendant ces 2 jours, le public est invité à se retrouver dans l’ambiance de cette époque, dans le cadre du parc et du château, avec de nombreuses animations (musiciens, cavaliers, militaires, danses, jeux, etc.), toutes en costumes XVIIIe siècle, auxquelles il pourra participer (ouvert à tous, la venue en costume est par contre soumise à réservation).
Grand reportage photo les Journées de la Marquise d’Arcelot des 1 et 2 octobre 2011
Visites guidées du château :
Du 1er juillet au 29 septembre (fermeture exceptionnelle le 30, sauf scolaires), du mercredi au samedi de 10 h à 12 h et 14 h à 18 h et le dimanche de 14h à 18h.
Tarif :
Visites du parc du château :
A compter du 4 mai jusqu’au 30 septembre, du mercredi au samedi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.
A compter du 1 juillet jusqu’au 30 septembre, ouvert en plus le dimanche de 14 h à 18 h.
Tarif :
Réceptions à l’Orangerie :
Capacité 110 à 120 personnes assises, location du vendredi après midi au dimanche soir. Cadre idéal du parc du château (label Jardin Remarquable), vergers et potager de l’Orangerie. Cuisine, parking intérieur, possibilité de cocktail dans le parc.
Pour obtenir plus d’informations, visitez le site du château d’Arcelot en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous.
Jean-Paul Klein, habitant d’Arceau au hameau d’Arcelot, est un grand amoureux des vieilles motos. Il a eu la délicatesse de choisir Arceau pour la réalisation du reportage qui suit :
Un article, parut dans le magazine « La vie de la moto » hors série 2010 dans lequel il fait découvrir les qualités de sa moto Scott Squierrel rénové.
Auteur : Bertrand Lebrun
Photos : Jean-Pierre Boulmé
Cliquez sur la page de l’article que vous voulez consulter :
Pierre Arnoux, né en 1930, passa son enfance en Franche-Comté à Champlitte où il alla à l’école communale. Il entra ensuite dans une école technique puis fit un passage dans la marine et enfin entra aux beaux arts nationaux.
Il commença sa carrière professionnelle en tant que peintre décorateur. A 20 ans, il se mit à son compte et à l’âge de 20 ans et demi avec dérogation créa sa première entreprise. En 1956, il s’installa à Arceau où il participa à la construction de 16 maisons sur la commune en tant qu’architecte d’intérieur.
Malgré son accomplissement social et professionnel, il voulu changer de métier et se lança dans le paysagisme. Il créa donc une pépinière à Beire-le-Châtel en 1984, qu’il développa jusqu’à obtenir une clientèle de plus de 2500 personnes. Grâce aux ventes des sapins de Noël de sa pépinière, il fit plusieurs dons à différents organismes humanitaires comme les œuvres de l’Abbé Pierre ou de Mère Theresa. Parallèlement à cela, conscient de la disparition de nombreuses espèces d’arbres et arbustes nécessaire au maintient de la vie de beaucoup d’espèce d’oiseaux, Pierre Arnoux planta plus de 85 000 arbres à Arceau. Le magazine National Geographic vint observer sa plantation qui fut établi site protégé.
Malgré son emploi du temps chargé, Pierre Arnoux a su concrétiser ses projets personnels. En 1960, la construction d’un avion Jodel D-118 lui demanda 2000 heures de travail méticuleux pour ainsi passer avec succès le contrôle technique. Après avoir obtenu son brevet de pilote, il put pleinement profiter de sa réalisation.
Le goût du travail du bois, que son grand-père maternel ébéniste lui transmit, lui permit de construire une caravelle du XVIème siècle, la célèbre Santa Maria de Christophe Colomb. Pour réaliser une telle œuvre Pierre Arnoux dut s’entourer de nombreux partenaires comme la société Le Creusot qui réalisa les canons de la caravelle, EDF qui se proposa de fournir la mâture et la ville de Tolède, en Espagne, qui offrit deux armures. Malgré tout, il dut passer 2000 heures de son temps à travailler le bois avant que la marine nationale française et l’ambassadeur général d’Espagne ne puisse procéder à l’inauguration et que flotte le pavillon espagnol au sommet du mât. Cet ouvrage, qui à l’origine n’avait qu’un but culturel, suscita un tel engouement de la part de la population que des bénéfices dû au tourisme ont été fait. Ces derniers furent offerts aux œuvres de l’Abbé Pierre qui fut aumônier de marine à la fin de la Seconde Guerre mondiale. A l’occasion du 500ème anniversaire de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, Pierre Arnoux fit don de la Santa Maria à la ville de Champlitte en Haute-Saône.
A cette époque, Pierre Arnoux ressenti le besoin d’aller vers les autres autrement et il devint alors visiteur de prison pendant 7 ans. Il dira que la seule action qui lui a le plus apporté restera a coup sur celle là.
Non satisfait d’avoir accomplit un exploit d’ingénieries maritimes, Pierre Arnoux s’est ensuite lancé dans la construction d’un moulin à vent à Arceau en hommage à son grand-père paternel qui fut le dernier meunier en Franche-Comté. Par le passé, ces dispositifs furent un lieu clé dans la vie communale des villages. En effet, les gens s’y retrouvaient pour discuter des nouvelles du pays et bien entendu faire moudre les céréales. Faire revivre le passé, même si se n’est quand image, fut la motivation principale de Pierre Arnoux qui une fois de plus passa 2000 heures à sa réalisation. L’apparition d’un moulin à vent à Arceau attira la curiosité des touristes dont Pierre Arnoux se fit un plaisir de faire visiter. Les enfants des écoles sont aussi venus s’instruire auprès de Pierre Arnoux pour apprendre le fonctionnement du moulin et la façon d’antan de moudre le grain. Le moulin est désormais habité et n’est plus ouvert au public.
Pierre Arnoux n’est pas seulement un pépiniériste constructeur d’avion, de bateau ou de moulin, mais aussi un écrivain reconnu. Suite à la perte d’un ami chère, il ressentit le besoin d’écrire. Un autre de ses amis lut son ouvrage et lui proposa de le présenter à un éditeur qui fut tout de suite intéressé. Et c’est ainsi que fut publié son premier livre « Afin que rien ne se perde ». Cet ouvrage est le premier d’une douzaine de livre qui pour la plupart se rapporte à des expériences personnelles comme « Christophe Colomb la Gloire et l’Amertume » (la caravelle Santa Maria) édité à plus de 60 000 exemplaires dont les droits d’auteur ont été intégralement remis aux orphelins de Cachan ou comme « Les Livres de mon Moulin » (le moulin à vent d’Arceau).
Pierre Arnoux reçut la croix du mérite français et divers médailles d’encouragement au bien donné par le Sénat pour toutes réalisations.
« Le seul bonheur que l’on garde, c’est celui que l’on donne aux autres. »
« Le bonheur, on ne le voit pas, ce sont ceux que nous rendons heureux qui nous le montre »
Afin que rien ne se perde, éditions Dominique Guéniot, Langres
Un Village gros comme ça, éditions Dominique Guéniot, Langres
Le Journal de bord de Christophe Colomb, éditions Dominique Guéniot, Langres
La belle histoire de Christophe Colomb, éditions Dominique Guéniot, Langres
Les Loup de Mal’côte, éditions France-Empire, Paris
Le fol Amour de Gabrielle De Vergy, 1988, éditions du Bien Public, Dijon
Christophe Colomb la Gloire et l’Amertume, 1992, éditions PTT – France-Télécom Cachan, Paris, prix de la découverte et préfacé par André Castelot
La Vigne au Loup, 1999, éditions France-Empire, Paris
Les Escaliers de la petite Martin, éditions Dominique Guéniot, Langres
Un Eté à la Villa « les Sorbiers », 2000, éditions Dominique Guéniot, Langres
Les Livres de mon Moulin, 2003, éditions Dominique Guéniot, Langres
La Châtelaine de Vergy, éditions Dominique Guéniot, Langres
Comme un Bourgeon d’Espérance, 2008, éditions Dominique Guéniot, Langres
Le petit Prince en péril, 2009, éditions Dominique Guéniot, Langres
Ce déroulant en octobre, l’épreuve du Roc d’Azur est une course de VTT d’environ 60 km sur différents types de terrain. Cette épreuve, la plus prestigieuse et la plus ardue de la manifestation qui porte son nom, a réuni cette année plus de 4700 participants.
Malgré un départ difficile à la 4000ème place, Cyril Colin a effectué une grande remontée tout au long de la course et est arrivé 600ème, ce qui lui permettra d’obtenir une meilleure place de départ l’année prochaine.
Le 12 novembre 2011, Cyril Colin et sa compagne Ophélie Vrinat ont participé en équipe mixte à la 26ème édition du Triathl’Ain réunissant 1500 athlètes. Tout deux étant de grands sportifs, ils choisirent d’effectuer le parcours long où ils furent en compétition avec 60 autres équipes mixtes.
Ainsi, après 10 km de course à pied, 5 de canoë et 20 de VTT, Cyril et Ophélie remportèrent ensemble ce Raid Nature.
“Découvrez le parcours du Raid long en cliquant ici”
De 1991 à 2006, Cyril Colin fut militaire de carrière dans l’armée de terre au 511ème Régiment du Train. On aurait pu penser qu’il découvrit sa passion pour le parachutisme dans l’armée, mais cette passion lui est venue d’un de ses amis qui l’emmenait avec lui le weekend dans un centre de parachutisme à partir de 1994.
Ses performances lui valurent l’attention d’un autre parachutiste spécialiste du Freestyle, Frédéric Nenet. En 2003, ils formèrent ensemble une équipe de Freestyle qui se compose d’un caméraman (Cyril Colin) et d’un performeur (Frédéric Nenet). Il se consacra entièrement au sport de haut niveau en 2006 après avoir remporté la coupe du monde de Freestyle à Eloy au États-Unis en 2005. A noter que pour pouvoir représenter la France lors des compétitions internationales, il faut en général obtenir le titre de champion de France la même année.
Cyril Colin cumula ainsi les titres et les coupes en Freestyle jusqu’en 2008 (voir l’encadrer palmarès) où il décida avec son partenaire de se concentrer uniquement sur la nouvelle discipline qu’est le Vol Relatif Vertical, leur objectif étant de gagner le premier championnat du monde de cette discipline en 2010. Ce qu’ils réussirent avec l’équipe de France, la « Team4Speed ».
A présent, Cyril Colin a le désire d’apprendre aux autres. Il a déjà accumulé une longue expérience de coaching en soufflerie et sur les terrains de parachutisme et a l’intention de créer une école de saut en parachute où les gens pourront réaliser leur baptême de chute libre et en garder un film ou avoir un entrainement plus poussé.
Ayant atteint ses objectifs dans le monde du parachutisme, Cyril Colin s’est lancé de nouveaux défis avec sa compagne Ophélie Vrinat, le Raid Nature. Il s’agit d’une course d’endurance qui réunit trois disciplines : le trail (course à pied), le VTT et le canoë-kayak. Pour donner une idée de la difficulté de l’épreuve, un Raid est constitué d’environ 40 km de VTT, 20 km de course à pied et 10 km de canoë, un véritable parcourt du combattant !
Pour ce nouveau défi, Cyril Colin a su s’entourer de spécialistes de la discipline. Jean-Michel Vachon spécialiste du semi-marathon (1h09min pour 21,1 km) et sa compagne Françoise Milesi s’occupe de son entrainement à la course à pied et au canoë ; cependant il n’a pas encore trouvé de préparateur pour le VTT, avis aux intéressés.
En plus de ses raids en équipe mixte, il s’est fixé pour objectif de se classer dans les premiers français de cette discipline. Ainsi il se donne deux ans pour obtenir des résultats au Roc d’Azur, une des plus prestigieuses compétitions de VTT nationale et internationale. Cette manifestation sportive est composée de différentes épreuves classées selon des critères comme le niveau, le sexe et l’âge. Cyril Colin s’attaquera à la plus difficile qui porte le nom de la compétition, le Roc d’Azur.
En obtenant de bons résultats à cette compétition, il espère pouvoir réaliser un partenariat avec Lapierre, marque régionale qu’il apprécie particulièrement.
C’est parti pour de nouveaux défis !
Véritable « danse du ciel », le Freestyle est un enchaînement de figures artistiques issues de la gymnastique et du trampoline qui doit être réalisé en 45 seconde. Basée sur des figures imposées telles que le salto tendu ou sur des figures libres, la chorégraphie du saut laisse place à la créativité du parachutiste.
Le Freestyle est une discipline qui ne peut être réalisé qu’à deux car pour que les juges puissent noter leurs performances, il faut forcément en réaliser un film. C’est pourquoi la qualité du saut est notée pour moitié sur la réalisation du tournage, la difficulté étant de suivre les mouvements du performeur tout en restant à distance constante avec un bon cadrage.
En hiver, les conditions climatiques empêchent les parachutistes de s’entrainer en pleine air sans être gênés par une combinaison trop épaisse, c’est la raison pour laquelle ils réalisent des simulations de saut en soufflerie. Sachant qu’un saut en parachute dure environ une minute, une séance d’une demi-heure en soufflerie équivaut à plus de 30 sauts. C’est aussi un bon moyen de faire des entrainements intensif avant les compétitions.
Dernière née des disciplines du parachutisme, cette pratique consiste à réaliser des figures à quatre dans des positions de vol tête en haut ou tête en bas durant 35 secondes et les performeurs sont filmés par un cinquième homme. Lors des compétitions 40 figures sont fixés par le jury et les équipes doivent tirer 5 figures au hasard. La particularité de cette discipline est que l’esthétique des positions n’est pas prise en compte puisqu’il s’agit d’une course aux points, le gagnant étant celui qui a réalisé le plus de figures dans l’ordre imposé et le temps imparti. A titre d’information, lors du premier championnat du monde de VFS en 2010, l’équipe de France à réalisé en moyenne 26 figures en l’espace de 35 secondes.
2005 | vainqueur de la coupe du monde de Freestyle à Eloy (Etats-Unis) et champion de France à Lapalisse. |
2006 | champion du monde de Freestyle à Géra (Allemagne) et de France à Lyon. |
2007 | vainqueur de la coupe du monde de Freestyle à Stupino (Russie) et champion de France à Brienne-le-Château. |
2008 | champion du monde de Freestyle à Maubeuge en France et numéro un au Trophée Européen Robin du Buisson en Vol Relatif Vertical. |
2009 | deuxième de la coupe du monde de Vol Relatif Vertical en République tchèque et champion de France à Lapalisse. |
2010 | champion du monde de Vol Relatif Vertical en Russie et de France à Vichy. |
SD3ATP de Dijon
Société de construction de réseau d’eau
Le directeur de cette société, Pierre-Jean Guerriero, est aussi le président de l’association « chalon parachutisme ». Il a été d’un grand soutien pendant toutes les années où Cyril Colin faisait partie de l’équipe de Freestyle « RED COQ ».
Intégral Système Bourgogne Franche-Comté de Fouchanges
Société spécialisée dans le verrouillage de porte (serrure électrique, ouvre porte automatique et cylindre à clés électroniques).
Cyril Colin tient à remercier en particulier Laurent Lemoine de Fouchanges, son contact avec cette entreprise.
Site internet : http://www.integral-systeme.fr/
Un projet abouti pour préserver au mieux cet espace naturel et pour le plaisir de nos yeux à tous.
La jachère florale pluriannuelle (Jachère composée de fleurs qui vont germer au printemps et finir leur cycle et mourir en début d’hiver, généralement lorsque les premières fortes gelées arrivent) est composée de fleurs sauvages spécialement conçues pour border les rives, mais aussi d’un panel de fleurs vivaces adaptées à tout environnement paysager dont le rôle est de préserver au mieux ce petit coin tranquille. Ces mélanges ne comportent ni fourragères comme le trèfle, ni graminées ou céréales. Un vrai bonheur pour nos amis les insectes et autres invertébrés, abeilles, coccinelles, papillons, coléoptères …
Galerie photo de la jachère florale
Galerie photo du bras mort de la tille
Itinéraire de la jachère florale
A Arceau, prenez la rue de la Chapelle et poursuivez sur la route de Brognon. Après avoir traversé le pont passant au dessus de l’autoroute A31, prenez la première à gauche et vous y êtes.
En partant du château d’Arcelot, prenez la rue du Faubourg Gallas (en face du château) et tournez à la première à droite. Continuez tout droit sur le chemin de champ et vous y êtes.
Depuis sa plus tendre enfance Serge Dabulewicz fut baigné dans le milieu de l’aviation, et c’est tout naturellement qu’il se lança dans une carrière professionnelle portée sur l’aéronautique. Dès l’âge de 14 ans, il entra dans l’entreprise Robin, constructeur d’avion de tourisme « Jodel » dijonnais, où il fut apprenti mécanicien dans le service après vente puis mécanicien et enfin chef d’atelier. En 1996, il devint responsable technique dans la société DAèS entretien d’avions jusqu’à l’âge de sa retraite.
Serge Dabulewicz n’a pas seulement passé son temps avec les avions au sol. En effet, à l’âge de 15 ans il apprit à piloter et a participé au tour de France aérien en tant que candidat puis accompagnateur. Son brevet de pilote lui servit aussi dans le cadre professionnel pour aller faire des dépannages ou des devis.
Son expérience en mécanique, mais aussi en entoilage et en construction en bois lui ont permis d’aidé beaucoup de constructeurs amateurs dans leurs travaux. Par ailleurs, Il réalisa la rénovation complète de deux avions Jodel et d’un avion Piper J-3 accidenté dont le modèle était utilisé comme avion d’observation durant la Seconde Guerre mondiale.
En 1994, Serge Dabulewicz se lança dans la construction d’un avion Falco F-8L seulement à partir des plans. Il faut savoir que très peu de ces avions furent construits car leur élaboration est si complexe qu’ils n’ont jamais pu être industrialisés. C’est d’ailleurs une des raisons qui a poussé monsieur Dabulewicz à choisir cet avion. L’autre raison est qu’il est tout de suite tombé sous le charme des courbes du Falco, ce n’est pas pour rien que cet avion est surnommé la « Ferrari de l’air ». Le Falco a été conçu en 1955 par Stelio Frati, ingénieur aéronautique italien décédé le 14 mai 2010. Par ailleurs, le magazine national « Info-pilote » a choisi le Falco de Serge Dabulewicz pour réaliser son article en hommage à Stelio Frati.
La construction d’un tel appareil demande de très sérieuses connaissances des avions légers classiques. Celle d’un avion comme le Jodel reste à la portée d’un amateur. Le Falco impose une parfaite maîtrise de la menuiserie aéronautique, des gabarits, du lamellé collé et de l’ajustage car il est entièrement réalisé en bois mise à part certaines pièces mécaniques. Ainsi Serge Dabulewicz prit la décision de réaliser toutes les pièces lui-même, menuiserie comme mécanique et finit sont chef d’œuvre en juillet 2007 après environ 8 000 heures de travail. Son avion fut si bien réussi qu’un reportage dans le magazine national « Aviasport » lui fut consacré. A noter aussi que l’entreprise Lasertec a fourni le marquage du tableau de bord et André Salin a aidé au transport de l’appareil.
L’avion terminé fut inauguré à l’aérodrome de Til Châtel le 22 septembre 2007 par Madame Robin, son ancien employeur. Par la suite, l’appareil fut racheté par Philipe Duclos, ancien pilote et démonstrateur de Mirage 2000, membre de l’aéroclub de Til Châtel et actuellement pilote de ligne.
Depuis 2007, Serge Dabulewicz s’occupe de l’entretien des 4 avions de l’aéroclub du Barsuraubois installé sur l’aérodrome de Juvancourt qui faillit fermer du fait de ne plus avoir d’avions en état.
Le 25 avril 2010 sur l’aérodrome de Juvancourt, Serge Dabulewicz reçut les honneurs de ses pairs qui lui ont décerné la médaille de la Fédération française de l’aéronautique. Cette médaille est décernée avec parcimonie à de grands bénévoles dirigeants, instructeurs et mécaniciens de l’aéronautique.
Lien vers le site officiel de l’aéroclub du Barsuraubois
La Tille passe par les trois hameaux d’Arceau et offre de magnifiques panoramas.
Arceau village pittoresque, classé aux monuments historiques, compte 644 habitants au 1er janvier 2010. Ses origines remontent à l’époque Gallo-Romaine
De tous temps Arceau, Arcelot et Fouchanges auront de multiples seigneurs au gré des allégeances, des héritages ou des rachats.
Le blazon d’Arceau a été établi, d’après les tombes d’Huguenin d’Arceau (1296) et d’Amiet d’Arceau (1297) en l’église d’Arceau et le sceau de Simon d’Arceau (1331).
Description héraldique : “D’azur semé de billettes d’or, à la bande de même brochant sur le tout.”
En ce pays, savoir vivre et respect des autres sont de mise. Seuls le sinistre colonel Isolami, un des adjoints de Gallas, et sa troupe de 4000 hommes semblent l’avoir oublié le 7 novembre 1636 en pillant et Brûlant Arceau, Arcelot et Fouchanges. Arceau connut différentes orthographes du latin ARCEOE, ARCELLIS, au vieux français ASCEAUX, ACCEAULX en passant par le populaire AICEAU. Mais au fait pourquoi Arceau? Le nom correspond simplement à l’existence d’un pont franchissant la Tille…tout comme à Arc sur Tille. Le bourg se situait sur la voie romaine Mirebeau-Dijon et connut nombre de grands hommes, au fil des siècles : Vuilon (ou Guy) en 1059, l’abbé Garnier de Mailly, l’abbé de Saint Bénigne, de Dijon, fondateur de l’Eglise Saint-Michel,Jean d’Acceaulx, seigneur de Fouchanges, Chanoine de Langres (1284-1288), Jean de Digoine, seigneur d’Arcelot, Antoine Claude Verchère d’Arcelot…